Après le verre d’eau, il s’agit d’avaler un premier café debout dans la cuisine, de constater que le fils dort encore, que le chat observe les mésanges et, avant le second café, de choisir le livre auquel nous accorderons les trente minutes de lecture matinale. Il s’agit d’avancer sa main vers un livre à la couverture blanche avec le titre en noir sous le nom de l’auteur en rouge. Le titre est dans une taille de caractère plus grande que le nom de l’auteur. Nous lirons ce matin Antoine Volodine, qui va nous accueillir dans son édifice romanesque à plusieurs voix qu’il appelle « post-exotisme ». Tasse de café en main, nous montons nous recoucher, calons les trois oreillers contre la tête de lit, ouvrons légèrement les tentures sur le jour qui éclaire ces temps « pré-post-exotiques ». Et nous voilà partis dans un futur qui sait peut-être proche .
Après le verre d’eau, il s’agit d’avaler un premier café debout dans la cuisine, de constater que le fils dort encore, que le chat observe les mésanges et, avant le second café, de choisir le livre auquel nous accorderons les trente minutes de lecture matinale. Il s’agit d’avancer sa main vers un livre à la couverture jaune avec le titre en noir sous le nom de l’auteur en noir. Le titre est dans une taille de caractère plus petite que le nom de l’auteur. Nous lirons ce matin Lutz Bassmann qui va nous accueillir dans son édifice romanesque à plusieurs voix qu’il appelle « post-exotisme ». Tasse de café en main, nous montons nous recoucher, calons les trois oreillers contre la tête de lit, ouvrons légèrement les tentures sur la nuit qui assombrit ces temps « pré-post-exotiques ». Et nous voilà partis dans un futur qui sait sans doute proche .
à partir de la 2
Après le verre d’eau, il s’agit d’avaler un premier café debout dans la cuisine, de constater que le fils dort encore, que le chat observe les mésanges et, avant le second café, de choisir le livre auquel nous accorderons les trente minutes de lecture matinale. Il s’agit d’avancer sa main vers un livre à la couverture jaune avec le titre en noir sous le nom de l’auteur en noir. Le titre est dans une taille de caractère plus petite que le nom de l’auteur. Nous lirons ce matin Lutz Bassmann qui va nous accueillir dans son édifice romanesque à plusieurs voix qu’on appelle « post-exotisme ». Tasse de café en main, nous montons nous recoucher, calons les trois oreillers contre la tête de lit, ouvrons légèrement les tentures sur la nuit qui assombrit ces temps « pré-post-exotiques ». Et nous voilà partis dans un futur vraisemblablement proche