Rêve du dimanche 7 janvier 2024
Je suis au bord du quai; le quai de Trois-Rivières, où accostent les ferry en provenance des Saintes déchargeant leur noria de touristes et de résidents partis seulement pour la journée et voyageant léger, certains même pieds nus et en maillot comme sortis tout juste de la plage. Je viens récupérer la petite. C’est la toute fin de l’après-midi ( une jeune femme blonde me bouscule, la main sur la tête pour empêcher que son chapeau ne s’envole) mais il fait encore jour. Les clés de voiture m’échappent des mains ; la femme blonde ne s’en est pas aperçue, elle est déjà loin. La petite arrive et me demande pourquoi je ne l’ai pas attendu comme d’habitude dans la voiture. Un membre de l’équipage nous interpelle.
Rêve du dimanche 14 janvier 2024
Je suis au bord du quai; le quai de Trois-Rivières, où accostent les ferry en provenance des Saintes déchargeant leur noria de touristes et de résidents partis seulement pour la journée et voyageant léger, certains même pieds nus et en maillot comme sortis tout juste de la plage. Je viens récupérer la petite. C’est la toute fin de l’après-midi ( une jeune femme blonde me bouscule, la main sur la tête pour empêcher que son chapeau ne s’envole) il fait maintenant nuit. Les clés de voiture m’échappent des mains ; la femme blonde ne s’en est pas aperçue, elle est déjà loin. La petite arrive et me demande pourquoi je ne l’ai pas attendu comme d’habitude dans la voiture. Un membre de l’équipage nous interpelle.
La lumière n’est pas la même, et ça me fait penser au tableau de Magritte, Le jour et la nuit (avec les deux lumières collées l’une contre l’autre et visible en même temps)
Je suis au bord du quai; le quai de Trois-Rivières, où accostent les ferry en provenance des Saintes déchargeant leur noria de touristes et de résidents partis seulement pour la journée et voyageant léger, certains même pieds nus et en maillot comme sortis tout juste de la plage. Je viens récupérer la petite. C’est la toute fin de l’après-midi ( une jeune femme blonde me bouscule, la main sur la tête pour empêcher que son chapeau ne s’envole) mais il fait à peine jour. Les clés de voiture m’échappent des mains ; la femme blonde ne s’est aperçue de rien, elle est déjà loin. La petite arrive et me demande pourquoi j’ai changé de chapeau dans la voiture. Un membre de l’équipage nous interpelle.
Je suis au bord du quai; le quai de Trois-Rivières, où accostent les ferry en provenance des Saintes déchargeant leur noria de touristes et de résidents partis seulement pour la journée et voyageant léger, certains même pieds nus et en maillot comme sortis tout juste de la plage. Je viens récupérer la petite. C’est la toute fin de l’après-midi ( une jeune femme blonde me bouscule, la main sur le front comme pour empêcher que ses rêvent ne s’envolent) il fait étrangement clair. Les clés de voiture m’échappent des mains ; la femme blonde ne s’en est pas aperçue, elle est déjà loin. La petite arrive et me demande pourquoi je ne l’ai pas attendu comme d’habitude dans la voiture. Un membre de l’équipage nous interpelle.
jolis rêves
Le tableau de Magritte a du amener à l’histoire du chapeau et le chapeau aux rêves, merci Christine, François et Laure 🙂
Je suis au bord du quai; le quai de Trois-Rivières, où accostent les ferry en provenance des Saintes déchargeant leur noria de touristes et de résidents partis seulement pour la journée et voyageant léger, certains même pieds nus et en maillot comme sortis tout juste de la plage. Je viens récupérer la petite. C’est la toute fin de l’après-midi ( une jeune femme blonde me bouscule, la main sur la tête pour empêcher que son chapeau ne s’envole) entre chien et loup. Les clés de voiture m’échappent des mains ; la femme blonde ne s’en est pas aperçue, elle est déjà loin. La petite arrive et me demande pourquoi je ne l’ai pas attendu comme d’habitude dans la voiture. Un membre de l’équipage nous interpelle.
presque le 14 janvier
Je suis au bord du quai; celui de Trois-Rivières, où accostent les ferry en provenance des Saintes déchargeant leur noria de touristes et de résidents partis seulement pour la journée et voyageant léger, certains même pieds nus et en maillot comme sortis tout juste de la plage. Je viens récupérer la petite. C’est la toute fin de l’après-midi ( une jeune femme blonde me bouscule, la main sur la tête pour empêcher que son chapeau ne s’envole) il fait presque nuit. Les clés de voiture m’échappent des mains ; la femme blonde ne s’en est pas aperçue, elle est déjà loin. La petite arrive et me demande pourquoi je ne l’ai pas attendu comme d’habitude dans la voiture. Un membre de l’équipage nous interpelle.
Un 14 janvier
Je suis au bord du quai; le quai de Trois-Rivières, où accostent les ferry en provenance des Saintes déchargeant leur noria de touristes et de résidents partis seulement pour la journée et voyageant léger, certains même pieds nus et en maillot comme sortis tout juste de la plage. Je viens récupérer la petite. C’est la toute fin de l’après-midi ( une jeune femme blonde me bouscule, la main sur la tête pour empêcher que son chapeau ne s’envole) il fait maintenant nuit. Les clés de voiture m’échappent des mains ; la femme blonde ne s’en est pas aperçue, elle est déjà loin. La petite arrive et me demande pourquoi je ne l’ai pas attendu comme d’habitude dans la voiture. Un membre de l’équipage m’interpelle.