Dans la cour de récréation, l’enseignant songe à ce qu’il a mangé au diner, tandis que les enfants grognent et feignent la dissolution. C’est le tumulte, la gesticulation, un battement de membranes d’où jaillit l’incontrôlé. Et c’est à peine d’un claquement de doigts ou d’un chut sévère, que l’enseignant remet en ordre ce qui a été bousculé. Le calme revient, on reprend ses affaires. A l’appel, il en manque certains. Dans un recoin, une araignée.
Dans le cour de recréation, l’enseignant songe à ce qu’il va manger au diner, tandis que les enfants grognent et feignent la dissolution. C’est le tumulte, la gesticulation, un battement de membranes d’où jaillit l’incontrôlé. Et c’est à peine d’un claquement de doigts ou d’un chut sévère, que l’enseignant remet en ordre ce qui a été bousculé. Le calme revient. A l’appel, on reprend ses affaires. Il en manque certains. Dans un recoin, des araignées.
Dans la cours de récréation, l’enseignant songe à ce qu’il mangera au diner, tandis que les enfants grognent et feignent la dissolution. C’est le tumulte, la gesticulation, un battement de membranes d’où jaillit l’incontrôlé. Et c’est à peine d’un claquement de doigt ou d’un chut sévère, que l’enseignant remet en ordre ce qui a été bousculé. A l’appel, le calme revient, on reprend ses affaires.
Il en manquent certains. Dans un recoin, une toile d’araignée.