Fille de mère et de père, fille d’elle et de lui, fille de parents, fille de pas-présents ; petite-fille aussi, petite-fille de grand-mère, petite-fille de grand-père ; fille de fille aussi ; fille à son papa, fifille à son papa, petite fille à son papa ; petite-fille et arrière-petite-fille ; lourdeur sur les épaules si petites ; fille avant tout, fille après tout ; fille de pute ? fille de fille de pute ? lourdeur sur les épaules si petites ; fille parmi tant d’autre, fille si seule, fille de la tête au pieds, fille même si personne ne le sait ; fille bonne ? fille de rien ? fille bonne à rien ? lourdeur sur les épaules si petites ; fille bientôt femme et peut-être flemme ; fille de toutes les couleurs, ma chère fille, ma toute petit vie.
Très jolie variation! (Me fait penser à ma grand-mère qui appelait tout le monde, garçon compris, « Ma fille ».)
J’adore cette idée, en tout cas!
Fille, mère, père, grand-mère, grand-père, avec du temps, le texte pourrait décliner tout un jeu des 7 familles. Le procédé est intéressant. Merci !
Très bonne idée, merci!
Comment la lourdeur sur les épaules si petites s’envolent dans cette magique répétition. Merci
Adorable petite fille de.
Touchée ! j’ai ressenti une émotion à lire cette tension entre la légèreté du mot fille et la lourdeur sur ses épaules, merci