Une antenne parabolique argentée direction le plafond à côté d’un pont à la rencontre de l’impossible, un ronronnement calfeutré ce ne sont pas des pas, ni l’oiseau en cage concierge du couloir, pousser la porte, ne pas décrire le tableau au mur, des tranches d’oranges stylisées, des rondelles de citrons, non ne pas décrire, pousser une autre porte sans résistance, une porte ramollie par le temps, suivre une allée à l’ombre des verts et des troncs, des gradins, un portillon, des envolées d’ailes, l’air tourne en rond de papillons, rien pour reposer un corps, tout est passé dans ce lieu présent à l’intérieur du temps.
je trouve beau ce texte malgré son opacité pour moi.
Merci Emmanuel, l’opacité de l’impossible, un chemin vers le secret. Bien heureuse de ton passage ici.