Je suis corps vous êtes voix, je suis corps lesté vous êtes voix délivrée, je suis corps lesté à chaise-table vous êtes voix délivrée de grammage, je suis corps lesté à chaise-table les mains légères, vous êtes voix délivrée de grammage contrainte plat dos, je suis corps lesté à chaise-table les mains légères à quérir en gorge, vous êtes voix délivrée de grammage contrainte plat dos à quémander de ma gorge une souvenance de vous.
En mon corps-de-faire augmentée de vous je chaise-table mains légères dos presque droit, je chaise-table infidèle à la toute première tablée, je chaise-table constante à la double-équerre aux pointes aiguës soudées par genoux, je contrains corps à l’oubli du corps, hors gorge hors mains. Arrêter le corps, voix à pleines mains.
Corps-à-corps en seuleté du temps employé à, discipline, du petit temps prélevé aux déplacements corps-de-faire utiles à sa vivance, discipline, du temps geste, du temps hauteur de son, du temps grammage en chien en chat en gisante les mains jointes sur plat dos des voix que j’infidèle sitôt avalées, discipline. Du temps des aimées les nuits plus longanimes la gorge plus serrée les mains très puissantes. Les aimées dans la pièce d’à côté. Je corps faisais innocente un futur de mêmes joies tourmenteuses et prolifiques, discipline, longues nuits chaise-table à forcir couple mains gorge, discipline.
Je suis corps je voix. Au songe ancien d’un béguinage à jardin églantine et retiré d’une route répond virage répond fatigue, discipline, ex voto, discipline. Corps-de-faire sur les chemins de servitude du pays montueux à cité littorale méritocratique, discipline, dévalant ravalant en habitacle puant je corps-voix des mains gesticule de gorge, je confiance de ce qui ne faisant souvenir de la geste des hauteurs ne saurait survivre à chaise-table dos presque droit, discipline, un soir un matin. Les chambres vides décuplent les rochers et les écumes baroques des nuées prisonnières entre criques et grèves de montagnes. Surveiller la mer.
Je voix je fus corps. Des fantômes d’étraves dont corps-de-faire s’était absenté trop longtemps posé en chaise-table enfui. Le désir, une petite chose à persistance moins grande que voix abreuvée de propres mains. Des étraves, des proues floutées. Des cargos, des goélettes, des pirates sans grammage. Les mains légères mon corps accélère.
Style très particulier. J’aime beaucoup. Je trouve ça envoutant. Surtout, il est question de mer, les images liées à la mer me touchent beaucoup.
un peu bizarre, je reconnais. Grazie mille