Il se racle la gorge. Il crache par terre. Il foule au pieds les morceaux d’étoupe qui jonchent le sol. Il regarde vers la fenêtre. Il mange un nuage. Il boit le goudron. Il cherche une issue. Il se dirige vers la porte. Il l’ouvre. Il fuit cet atelier où une vieille barque occupe tout l’espace. Il est libre. Il est ivre. Il n’est plus dans le livre.
Très fort.
C’est dit. Rien à ajouter !
je souris à son dos ou à l’endroit où était son dos
Merci Françoise, Catherine, Brigitte d’encourager mes paresseuses pirouettes accablées de chaleurs. Merci et surtout merci de vos écritures.