L’hôtel, une pension de famille. Par extension tous les hôtels et particulièrement les escaliers de services, la buanderie.
Le bar, de l’hôtel ou non. Les restos d’habitués. Les routiers. Les resto-route.
L’épicerie-bar (montagne ou rase-campagne).
La grosse usine désaffectée.
La piscine en plein air.
L’appartement de fonction au-dessus de l’école.
La forêt, la montagne, la neige, la rivière.
Les bagnoles, les routières et tout le toutim : station service, pompes à essence, aire d’autoroute pique-nique compris.
Les trains, les cars.
Les tribunaux, les gendarmeries.
La société de chasse.
Les résidences secondaires vides, les fermes abandonnées sur les hauteurs.
Le camping du bois-joli. La Baraque à frites, surtout pour les crêpes.
je me permets de dire au hasard (enfin presque mais) ce qu’évoque cet incontournable d’inventaire (de culture populaire)
– les vendeurs de fruits et légumes sur le bord des routes
– les golfs miniatures
– les cirques ambulants (comme ils le sont pratiquement tous)
– les bandes dessinées (Aggie ou quelque chose Lilli oui pour les filles, X13 ou Zembla pour les gars)
– les fêtes paroissiales de fin d’année scolaire
(de nos jours, peut-être les croisières et les casinos (dans les immenses paquebots on trouve ce genre de lieux de perdition semble-t-il – sur le ferry de Patras à Bari on en trouverait un (six ou dix pathétiques bandits manchots dans des lumières criardes mais glauques) et les parcs d’attraction)
pour aider « l’en cours »
Merci Piero de cette contribution précieuse : les vendeurs de fruits sur le bord des routes étaient passés à l’as, pareil pour le Luna Park et le ferry au départ de Dieppe. J’annexe les fêtes paroissiales de fin d’année (j’en ai une dans l’archive Sauveterre sous le titre : Le cochon tourne !).
J’aime beaucoup cette liste de lieux, comme finalement un décors, un territoire qui se dessine, et en creux presque déjà l’histoire ou (les histoires) que tout ça renferme!
J’aime beaucoup cette liste de lieux, comme finalement un décors, un territoire qui se dessine, et en creux presque déjà l’histoire ou (les histoires) que tout ça renferme! et au milieu de ça, j’aime « la neige », traitée sur le même plan que les autres, la neige comme lieu de l’enfance, c’est beau