Ils sont où mes personnages, ils se tiennent éloignés les uns des autres, il y a Mathilde, veuve de Paul, elle loue deux chambres à l’hôtel, elle est discrète, bonjour, bonsoir à Douglas le propriétaire de l’hôtel qui ne comprend toujours pas pourquoi il lui faut deux chambres dont une qui reste éclairée toute la nuit, ça l’énerve. Et puis Léo Jack le fils de Mathilde qui ne communique avec lui que par téléphone, normal elle ne sait même pas où il est, où il vit, et enfin Marianne l’amoureuse des bancs, elle s’assoit, elle réfléchit, elle lit.
Dingue comme si peu de mots campent les personnages. Super efficace, Marie. Déjà embarquée.
Tellement merci Anne de vos mots qui me sont tellement de réconfort.
Bien belle journée à vous.
Tout est là : on voit la fenêtre éclairée, on s’interroge, on s’approche, on découvre autre chose….