« Pourquoi tu t’es laissé faire ? »
La grammaire de la construction originelle transparaissait encore malgré les aménagements successifs des progrès des Hommes, j’ai écrit.
L’agrammaire de la construction originelle flottait encore malgré les emménagements successifs des pro-gré des Hommes, j’ai inter-écrit, sans même m’en apercevoir.
La grand-mère des cons-strictions originelles imprégnait encore les murs en moëllons mal-gré les âmes ménages ordonnés des hommes, j’ai auto-écrit, sans même le vouloir.
J’ai enterré ma grand-mère, la mère de ma mère, comme je l’enterrerai encore malgré les râles successifs de ce que j’ai écrit, inter-écrit, auto-écrit, sans même le savoir, par-delà ce que chaque une de « noûs » à cru connaître des Hommes.
P.S.: C’est Blanche qui m’a donné grammaire/grand-mère. J’étais en rage, ou plutôt avant je me serais mise en rage. J’aurais du le trouver toute seule, je l’aurais trouvé toute seule, comme une grande…Merci Blanche.
Je ne comprends pas tout mais j’aime. Merci Alexia.
Je ne comprends pas tout non plus, et heureusement. Merci Ugo.
Avec l’accent du Sud et la formulation articulée des instituteurs et institutrices de ma famille, cette grammaire des grands-mères nous a été donnée jeune, mais là tu en fais une chanson neuve, rythmée et un peu amère – à mère ? On ne s’en défait pas si facilement de ces colères de langues,
Bonne suite Alexia,
amère me va bien…j’ai des zimages de citrons zet d’agrumes en tous genres…merci!!! et vive les meringues au zeste de citron!!!
À les prendre à rebours depuis le dernier publié j’entre dans le monde étrange et si profond de tes textes, merci Alexia.
Comme Ugo je comprends pas tout mais fou ce que ça me fait du bien.
Tant que. Merci. J’ai encore du taf, mais ça avance, à ses rythmes…