Comme je l’ai dit, il fallait bien que Paul mange et ce petit cacheton pour gratter un peu de guitare des électrodes ou autres puces électroniques, que sais-je, sur le bout des doigts ne le passionnait pas beaucoup cependant comme je l’ai déjà dit il fallait bien qu’il mange, qu’il se compose un itinéraire au milieu des gravats de son existences récemment déposés à ces pieds quand Julie était parti laquelle ne supportant plus d’être appelée ma puce du matin au soir tandis qu’il ne se passait plus grand chose de nouveau dans la vrai vie de tous les jours, la simple vie de tous les jours comme je le disais ne résonnait plus assez pour que mot puce ne lui suinte dans l’oreille, elle n’y voyait que cet insecte dont était infesté Gemlo le chien qui traînait joyeusement son arrière train dans le jardin à longueur de journée reniflant chaque plante piétinant même les géraniums de Colette la belle mère comme je l’avais expliqué avait dit que c’était bon contre les moustiques mais n’avait pas trouvé de remède naturel contre les puces.