J'entre au théâtre dès l'adolescence afin de me donner la parole et dire celle des autres. Je m'aventure au cinéma et à la télévision puis explore l'art de la narration et du collectage de la parole- Depuis 25 ans, je donne corps et voix à tous ces mots à travers des performances, spectacles et écritures littéraires. Publie dans la revue Nectart N°11 en juin 2020 : "l'art de collecter la parole et de rendre visible les invisibles" voir : Cairn, Nectart et son site clarencemassiani.com.
3 commentaires à propos de “#été2023 #02bis | D’ici à là-bas.”
Hitchcockien. On craint le pire. Merci Clarence Massiani.
Merci à toi Hugo pour cette lecture et ces quelques mots.
A te lire vite.
« Au bout, il y a une église mais la cloche ne sonne pas. »
« remarque un square d’enfants et personne dedans »
« Elle arrive sur une plateforme devant une porte vitrée avec une barre ronde et horizontale qui se dresse devant elle. Elle attrape la barre et tire mais rien ne bouge. »
Toutes ces potentialités de présence donnent une atmosphère particulière au texte, presque inquiétante.
Hitchcockien. On craint le pire. Merci Clarence Massiani.
Merci à toi Hugo pour cette lecture et ces quelques mots.
A te lire vite.
« Au bout, il y a une église mais la cloche ne sonne pas. »
« remarque un square d’enfants et personne dedans »
« Elle arrive sur une plateforme devant une porte vitrée avec une barre ronde et horizontale qui se dresse devant elle. Elle attrape la barre et tire mais rien ne bouge. »
Toutes ces potentialités de présence donnent une atmosphère particulière au texte, presque inquiétante.