Lorsque j’étais adolescente, j’ai écris un livre.
Interrogations, pleurs, réflexions, désespoir, joies, colères, tout ce qu’un coeur et un corps de jeune fille peut contenir. Les mots jaillissaient forts, sincères, à flots.
Je pense que si je le relisais aujourd’hui, je le trouverai beau mais maladroit, décousu et peu littéraire.
Mais il y avait cette étincelle du dire – Dire sans cacher, dire sans mentir, dire à nu.
Malheureusement, je ne pourrai jamais le relire car j’ai tout mais tout jeté.
Dommage que tu ne puisses pas relire tes mots, par curiosité. L’essentiel n’est pas dans l’écrit, mais dans ce que tu appelles l’étincelle du dire. Joliment formulé.
Merci Jean Luc pour ta lecture, à te lire à mon tour. bises.