en multipliant les points de vue
s’en libérer par un appel d’air
répéter à l’infini une litanie une blessure qui ne guérit
jamais
écrire, oui
pages imbibées de ciel bleu
comme si le bleu du ciel tombait de votre poche
comme ce bleu de ciel l’offrir ce bleu de ciel
au premier passant
au premier passant venu
ou alors le garder en poche
là
tout au fond d’une poche qu’on voudrait secrète
la poche qui sécrète toute seule son propre contenu
la poche qui toute seule s’écrirait
là
… un bleu de/du ciel qui tomberait de la poche tant la poche en serait pleine et cette poche magique régénérant toute seule son contenu, il y a l’encre d’un inépuisable stylo dans ce bleu-là !
Merci d’avoir pris le temps de me laisser un commentaire. Toujours agréable qu’un texte de soi soit lu ! Bleue de joie je suis.
Vous êtes certaine de ne pas être la réincarnation de Jacques Prévert ?
J’adore votre bleu éternel. Merci !
Hooo quel compliment ! Merci merci !
j’aime cette poche magique et secrète qui sécrète tout ce bleu!
Marie