À la cité internationale, à la maison de la Norvège, on faisait ma chambre. Lit étroit, petit bureau, style scandinave, vue sur le périphérique et le stade Charléty, mais quand je rentrais, chaque jour ma chambre était faite, cendriers et poubelle vidés, lit refait, livres, cahiers, crayons rangés, luxe inouï. Je croisais parfois la dame qui faisait tout cela et la remerciait incrédule. De l’ordre dans le désordre qui m’habitait.
(comme à l’hôtel, en somme)
bien tenue la maison de la Norvège