Je t’attends comme une conne, comme pour celle que tu (me) prends, à me dire que l’attente attise les sentiments
Je t’attends comme une abrutie qui aurait déconnecté son cerveau incapable de penser, amnésie
Je t’attends comme un chien pour sa sortie du matin ou du soir, dépendante de ton bon vouloir
Je t’attends comme la clé sur le contact, mais qu’il faudrait quand même tourner
Je t’attends comme une chatte pour avoir sa dose de lait, prête à se laisser câliner pour ton bon plaisir, car il faut donner avant de recevoir, tu vois ?
Je t’attends comme un savon qui aimerait bien (se faire) mousser, mais qui sans tes mains ne peut rien, même pas simuler
Je t’attends comme un passager en partance un jour de grève, et qui espère que parmi tous les vols, le sien ne sera pas retardé
Je t’attends comme comme un grain de sable sur la grève qui attend d’être foulé au pied des touristes en été
Je t’attends comme une sotte, une tête de linotte, qui a déjà oublié comment tu me traites, vache à lait
Je t’attends comme une couillonne, trop attachée à tes bijoux sacrés, que tu touches bien plus souvent que moi sur une journée
Je t’attends comme une idiote, pauvre de surcroît, qui a osé penser un jour que tu étais de son cœur le roi
Je t’attends comme une crétine, qui retombe tous les matins renversée du mauvais côté, comme ta tartine
Je t’attends comme une niaise pas encore avertie, que les cons dans ton genre sont toujours déjà pris
Je t’attends comme une imbécile, finie, accrochée à un rêve infini de mièvrerie
heureusement que ce n’est que fiction
… ou pas… 😉
m’est avis que l’attente est pas loin de s’arrêter !
ah bon ? une raison en particulier te fait penser ça ?
Quelle ironie féroce… qui bien loin d’effleurer la c.. qui attend, tabergicle sucrenproudre morgifurge dégobille massacrotte l’imbécile qu’en profit’
Merci François ! J’adore l’inventitruculosité de ton vocabulaire 😉