Abri bus abri bus maison des courants d’air oui bien plutôt avec son unique panneau de verre derrière le banc – qui se prolongeait jadis jusqu’à l’écran publicitaire de l’angle, ainsi sur quatre côté, deux étaient protégés – maintenant de la rue on peut pénétrer dans ce quadrilatère à gauche et à droite de la dite assise, maison venteuse, oui, plutôt, bocal qui perd ses eaux !
De Bastille à la Seine par gradation : plan rond place plane, puis plan surplomb du métro qui passe dans ses rails dans son tunnel dans sa perpendiculaire protégé par des grilles fosse aux ours direction port de l’Arsenal, là plan incliné vers les jardins étagés vis à vis des bateaux les quais en ourlet, enfin au bout du bout des quais passant par dessous un métro un autre cette fois perché, plan étale de la Seine qui miroite au loin l’île Saint-Louis Notre-Dame
On en a plein les mirettes de ces géométries dans l’espace, de ces déclivités de ces concavités savamment concococtées dans des matériaux toujours les mêmes béton bois verre sable plastique plexi eau dans des ruptures et distorsions exquisement mises en scène les archis sont des metteurs en scène voyons c’était évident tu atterris mais il y a des lieux où c’est plus où c’est que, plein les mirettes on en a et rapidement plein le dos, je me courbe et m’avale dans une bouche (de métro) et me carre
Oiseau de nuit survolant l’amphithéâtre aérien d’une abside circulaire, figure modulable dans les dédales d’un après-midi de métal, je plane sphérique dans sur des courants d’arêtes douces
Verticales bisautées saillies en rotonde notre oeil requis pour capter cette permanence de découpes et dénivelés plusieurs espaces en un configurations à pic pour surprendre non tournis concours de lignes brisées fuselés aérodynamiques jeux de miroir scintillement lissé métal verre et eau ou au contraire l’atone l’opaque le fumé l’obscur le mat pas une broutille l’environnement