Ce fut d’abord la musique bouillonnante du baladeur Sony.
Puis il y eu ces répéts dans la cave couverte de boite d’œufs jaunies.
Suivi assez logiquement des concerts aux amplis survoltés.
Et parce qu’il fallait bien crouter.
Vint le temps des premiers boulot
Sur les chantier coincé entre le marteau piqueur et le perfo.
Impossible de savoir à quel moment est apparu
Ce lancinant sifflement aigue.
Une chose est sûre aujourd’hui,
Le silence n’existe pas sans lui.