Et le centre étant partout (car il l’est), qu’en est-il de l’autour du centre ?
Dans cet inconcevable enchevêtrement du centre et de l’autour, des centres et des autours, l’espace cesse d’être tout en se démultipliant.
Et moi j’éprouve un grand soulagement à me dire que je suis le centre de l’autour tout en étant l’autour du centre.
(Dans ce contexte, creuser jusqu’au centre, comme nous y invite François Bon, quel absurde et délicieux vertige!)