échec, à terre, tombé de paf, fiasco du four, tu déblatères, le sale tournis, les pieds ballants, perdu le goût, le lit’osphère, au bastingage, dernier coup d’œil sur l’atmosphère, le miroitant n’a plus de gage, au bataillon l’échec à sec, le pas dégrade, échec à somme, l’idiot ramage, blêmi fusain, à bas se voir, à bigorneau, deux somnifères, basile à plat, sentier bombé, truffé d’écailles, la butte aux failles, le sort bouffi, tout compromis, la cage aux pieds, en chien de fusil, l’oubli le trou, zéro de conduite, le cœur démis, horreur intime, le cri terré, l’échec en boîte, sachet percé, concert de plumes, au fond du trou, place aux jonquilles, foi sur la touche, enfle ta joue, n’égalise plus, blanc dans les yeux, debout déballe, sur fond d’entaille, le plat d’os plats, le seau de tiède, la bille en tête, le peu te flingue, enseveli, litige en bloc, va te saccage, le nerf en toc, le fond du fond, embastillé, baba de brâme, Bela Bartók, se mue chanmé en sémaphore déguenillé, nez cabossé, sur l’été mat amidonné, bousille une patte, l’élan fini, te décapsule, débordement, le blanc du pus, te culpa bise, bambino fiotte, ce chtrou du duc, t’as rien pigé sur l’frogono, qué buse de bouse, la bacchanale du pitoyable, qué tu comprends, et quoi du con, va t’faire un œuf, tu bats des flancs, bas la bouffaille dans l’ciboulot, t’as plus ton froc sur la chamade, c’est quand tu veux, hchouma voilà, t’es cuit c’est mat, la vie te chiotte, ton plus beau bide, coma le vent, tourné à blanc, cheh sur ta route, le balancier, bouffon de brute, la capucine qu’on voit monter dans ta turbine, son courant d’air, le froid d’hier, un vaste oubli, mors sur le fil, ton dérisoire, ébloui seul, matin dégrise, s’étalant seul, jaune est la plaie, rêvée de nul, coquelicot dépavané, branché trop las dans la gadoue, se chose en pleurs et se dissout, décapsulé, cœur en saccage, des gouttières, il tombe à pic, le sous glissant dans la rigole.
Classe. Merci. C’est une autre langue!
Merci beaucoup Emmanuel, on se permet de vraies impros avec les propositions de François Bon, c’est libérateur !!
Ça claque comme oiseau phare
Grand merci à vous Louise pour cette très jolie formule :))
Je découvre ! Je me berçais de l’idée (fausse) de quatuor dans mon #L2 sans savoir, sans avoir entendu à quel point vous aviez accéléré et comme déjanté, ici, le rythme à 4 temps. Libérateur, oui, c’est ça, de la musique !
Merci vivement Christophe pour ces mots qui entenaillent et savourent les clapotements de ce qui chute et trébuche. Ça fait du bien comme un raï qui suit la calèche ! Belle journée à vous !
Ça vaut le coup de se ramasser des gamelles pour trouver un coquelicot dépavané. Je n’ai pas … pensé ? d’utiliser cette exercice pour pousser la langue. Te lisant je me rends compte combien j’oublie facilement de pousser la langue, quand on ne me le rappelle pas (une patte d’ours sur l’épaule : dis donc, tu viens pas que pour raconter des histoires, non ?). Merci de cet aiguillon.
Aaaah mais c’est grâce à vous, ce lâcher prise tout permis,fabuleux de pouvoir oser… je retrouve le tempo bien largué souple indocile dans vos beaux écrits… J’y retourne d’ailleurs avec joie ! Belle journée Emmanuelle 🙂
Bon, j’avais fait comme si on se tutoyait. 🙂