On l’a pendu dans les cintres: un de métal avec sa pomme. On actionne un petit mécanisme. Une poulie liée à deux contrepoids et l’arrosoir penche. Juste ce qu’il faut pour verser l’eau. Un beau jet de pluie circonscrit. On dirait qu’il fait pipi, avait dit l’enfant qui passait. L’acteur ouvrait son parapluie. L’eau faisait pluie. L’illusion était parfaite. Le jour de la dernière arriva. Le parapluie se grippa. L’arrosoir se décrocha. Il assomma l’acteur, aspergea même les premiers spectateurs qui en rirent de bon cœur. Cependant l’acteur ne se releva pas. Ne salua pas. Il fit le mort.
Scène, eau, graphies. Merci encore Nathalie Holt.
Jeu de m’eaux, merci Ug-eau . Elles manquent ces scénographies
Toujours puissantes, vos images. Vivement le numéro 4!
Merci Laure. (et de m’inviter à travailler )
Toute une histoire, un petit monde, en quelques lignes, bravo.
Merci Laurent