Berlin, Hong Kong ou Birmanie tandis que des hordes visitent low- cost l’immense planète toute entière à leur désirs les oiseaux mangent ici les tomates- cerises Eté Elle ne ne parvient pas à être drôle ni légère comme il faudrait comme ils voudraient les autres qu’elle soit cueillir avec Elle encore ne se rendent pas compte mais à l’autre bout de la planète Alloçava? sont arrivés à un certain point carrefour certain moment de leur course malheureux désireux de mourir ce sont des riens des petits vieux devenus et Elle les aide des moments comme Elle peut un rayon de lumière un mot coupé mâché qu’on ne sait plus écrire ou dire qu’on se rappelle une fleur du jardin un sourire inattendu sucré une tartelette aux mirabelles accéderons nous à cet âge si grand si au loin un poids bien lourd tel un nuage klaxonne Ils habitent en bordure bordure de route nationale et sont à un rond un rond-point loin d’attention flottante demain c’est le mariage de Cloé Samuel les petits orphelins béninois éthiopienne la vie tu te rends compte Papa comme elle est différente ? Plus ouverte, plus large monde-idéalisée plus tu ne trouves pas ? dure Plus longue je trouve trop trop longue et c’est ainsi ! triste et formidable que veux-tu? Et la gaieté sur son visage est sans valeur marchande sans valeur commerciale sans raison sans explication là la dernière grâce des petits rien c’est les larmes retenues il a marmonné récité par cœur Le Loup l’agneau Perrette et le pot les larmes dans son regard vues l’humanité entière vue le premier le deuxième le dixième défiler renoncements tout ce à quoi il avait dit « au revoir » les Fables l’aident à s’endormir à éloigner l’Anku dont il a peur est proche Elle jamais loin veille et leur amène quelques tomates cerises de son jardin