Je suis en train de lire « Le Cul de Judas » d’Antonio Lobo Antunes. Il est question de guerre comme dans « L’Acacia », celle menée par le Portugal contre l’Angola entre 1961 et 1974. Et presque comme chez Simon, des phrases longues parfois, comme une guerre sans fin, organiques, où poissent le cynisme, l’angoisse et le désespoir.