l’eau mais c’est tout simple, ça tourne dans l’évier quand il se vide ça bouge en vagues tranquilles viens il fait chaud derrière les rochers si profonde et si bleue tiède viens nager un peu d’écume quelques petites bulles fendre planche yeux au ciel goût du sel et goût du soleil l’eau Salammbô Gammarth (non, Mégara le faubourg, non) un verre une pièce de l’eau celle des larmes de la sueur des humeurs lymphe quatre-vingt-dix pour cent on dit on s’en fout ici ou là de l’autre côté de la mer l’eau le gel la glace la pluie la vie
comme tu ouvres le bal, toi aussi tu l’aimes le goût du sel ? bravo et merci !
Super ! Merci pour le premier voyage.
Beau comme eau ! merci Piero
merci à vous
Tu te lances à l’eau le premier. Beau.
D’une simplicité déconcertante qui donne envie d’y aller
tout cela en quelques lignes… ô prouesse…
Oui, je viens nager, si profonde si bleue derrière les rochers !
C’est saisissant. Merci !
Un jour, je trouverai le sens de cette simplicité. Qui disait : « Viens il fait chaud… viens nager… » Qui insiste, dans le souvenir ou l’imagination ?
merci pour ton texte et la super photo