Le banc des Chibanis
10 heures d’un matin lumineux, la chaleur torride pas encore arrivée, ils sont là tous deux, devisant dans une langue inconnue, pas l’arabe,qu’elle entend souvent dans son quartier, souvent guttural, l’accent ici est plus doux, du kabyle ? Oui, certainement, l’accent doux comme leurs visages doux, comme apaisés, toujours si correctement habillés dans leur costume gris, elle les côtoie presque Continuer la lectureLe banc des Chibanis