Le révolutionnaire
A la fin de la journée, les hivers, j’ai coutume de m’asseoir près du feu crépitant. L’immense cheminée mange tout le mur. Avachie dans un fauteuil aux larges corolles brunes et défraîchies, je me repose des fatigues du jour. Je me laisse absorber par la danse des flammes ou je dévore, le plus souvent, les gros livres perdus de la Continuer la lectureLe révolutionnaire