transversales #2 | Et si ?

Et si, derrière la porte verte qui cache un vide, une obscurité, vivait un homme ?   Et si un événement abominable, cruel, écœurant, déterminait ses gestes, modulait sa vie au ras de l’acceptable ? Et si quelqu’un n’écoutait qu’à moitié le monde qui l’entoure ? Et si quelqu’un d’autre l’écoutait trop ? Et si Robinson Crusoé ne voulait absolument rien faire sur son Continuer la lecturetransversales #2 | Et si ?

Transversales #02 | une semaine de réductions

Dimanche 13 février Ce vers d’Horace « carpe diem »… cette question : pourquoi l’homme arrache-t-il la beauté, le bonheur, au risque de le détruire… au Japon « l’art c’est couper sans couper »… un bref livre qui s’épanouit, plein de sève, et défie toute compression (L) Un passionné brigand toulonnais se réfugie dans l’arrière-pays puis les alpages ; découvre la vie lente, des bergers, un Continuer la lectureTransversales #02 | une semaine de réductions

transversales #02 | tremblements.

Les rêveries d’un promeneur solitaire que je n’ai pas lu depuis mon adolescence, images floues dans mon esprit mais ce titre, ce titre…. Les paroles, le RER, les silhouettes, les images de dehors, dans Paris, captées et écrites. Lorsque Alberto Giamotti est raconté par un écrivain-poète peintre franco-marocain, il est question d’art, d’écriture, de sculptures et de nécessité d’être au Continuer la lecturetransversales #02 | tremblements.

transversales #02-3 | certainement une autre

dans le poste il y avait cette chanson qu’interprétait pour Corinne (dite Cléo) Marchand quelqu’un (je retrouverai) intitulée “Sans toi” reprise lors d’un festival de Cannes (cinéma) par une Angèle (Van Laeken, elle est de 95) en robe blanche sans la moindre voix (on s’en fout à peine) – toujours eu le sentiment que Cléo attendait de savoir si elle était enceinte Continuer la lecturetransversales #02-3 | certainement une autre

transversales #02 | des morceaux, des mots

Un homme s’installe dans la baignoire de sa salle de bain. Il ne peut plus en sortir. On lui parle à travers la porte. Il ne se passe pas grand chose et c’est tant mieux. C’est drôle. C’est le journal d’une femme qui ne parle pas d’elle. Elle ne raconte que l’extérieur. Le dehors la traverse, devient elle. Elle est Continuer la lecturetransversales #02 | des morceaux, des mots

transversales #02 | et les histoires ?

Lundi 14 février 2022 Est-ce que c’est un homme ? Est-ce que c’est une femme ? Est-ce qu’il couche dehors finalement ou pas ? J’ai entendu dire qu’il couchait en l’air, mais c’est une image ? Par contre il se douche, bon. Sinon c’est vachement intéressant ce texte. Est-ce lui qui l’a écrit ? Pour aller plus loin il me Continuer la lecturetransversales #02 | et les histoires ?

transversales #02 | comprimés un par jour / 7 jours

codicille : pas facile de résumer en quelques lignes, sans titre, sans nom de personnages. on se retrouve avec la femme de l’homme et l’amant de l’amante. d’ailleurs quelle est la différence entre résumé et compression . le premier concernerait les lignes (les grandes lignes) et le second la matière contenue entre les lignes ? on aurait donc d’un côté Continuer la lecturetransversales #02 | comprimés un par jour / 7 jours

transversales #02_2 | certainement

j’ai retrouvé le moyen imposé taleur (bicolonne) sans comprendre la consigne – il me semblait tous les jours – je ne vois rien ça n’a pas d’importance : développons – je le verrais bien en transversales trois – je m’y perds dans le poste il y avait cette chanson qu’interprétait pour Corinne (dite Cléo) Marchand quelqu’un (je retrouverai) intitulée “Sans toi” Continuer la lecturetransversales #02_2 | certainement

transversales #02 | en vrac

Une banale journée de classe pour cette élève de CM2 qui préfère regarder à l’extérieur de la classe et qui aimerait bien être le petit chien de monsieur Bellina qui va chercher le journal de son maître tous les matins chez le buraliste. Des enfants dans une petite épicerie de campagne. Ils sortent du catéchisme. Ils choisissent des bonbons et Continuer la lecturetransversales #02 | en vrac

transversales #02 Compressions Pèle-mêle

Petite on l’empêche de manger la terre, à plus d’âge on la laisse se momifier dans la cour du jardin. En perdant les mots, un homme perd le monde. Plus de place. Plus de ressource autre que d’aller vers la forêt, là où, en s’asseyant, il pourra peut-être devenir racine et se renouer à lui. Une histoire non préhensible tant Continuer la lecturetransversales #02 Compressions Pèle-mêle