#photofictions #01 | Moby
Juillet. La sieste est terminée. Nous marchons jusqu’à la place, sa petite main dans la mienne. Au passage, un homme âgé pose sa paume sur la tête d’enfant haute comme trois pommes. Elle dit : pourquoi ils me grattent toujours la tête les monsieurs ? Elle prononce le mot comme au singulier et étire la deuxième syllabe. L’air est frais et doux. C’est bête Continuer la lecture#photofictions #01 | Moby