#anthologie #07 | Tunnel
Comme Franz Kafka le quatre octobre mille neuf cent onze au soir, je suis installé sur mon canapé dans un début d’obscurité enveloppante. Une nouvelle lumière obscurcissante éclaire tout ce qui dans la pleine révélation du jour tendait à s’effacer. Les objets qui il y a encore quelques minutes étaient entiers, lentement se décomposent. L’accoudoir du fauteuil résiste à l’enveloppement Continuer la lecture#anthologie #07 | Tunnel