Qui dort ? Le lieu ou moi ?
Des mains sans visage esquissent un oreiller. Elles glissent quelque chose sous le drap housse pour former oreiller sous ma tête d’enfant. Du rose, un lit imposant, bois, très marron. Des mains. Une voix peut-être ? Un repli sans oreiller ? Pire que la pluie ? C’est l’humidité qui a gagné. L’eau est tombée sur le sommeil. Transformé en inconfort dans Continuer la lectureQui dort ? Le lieu ou moi ?