« camera obscura »
combien de paires d’yeux de vaches curieuses et de génisses fixent la tente plantée dans mon jardin quand j’ouvre la fermeture à glissière ? la prison fait face à l’hôtel ; la chambre est plongée dans une pénombre que le rideau écarté n’arrive pas à éloigner à Combloux, non loin du Mont-Blanc, le dortoir des filles s’appelle le Yang-Tsé-Kiang ; le voyant de Continuer la lecture« camera obscura »