#L4 – du bon usage de sa « Sentimenthèque »

Il y en aurait d’autres… Il, IL a envie de vous parler des livres qui l’ont marqué. De combien déjà doit-il vous parler ? dix non trente-deux, il ira jusqu’à trente-deux, son nombre. Tu exagères, tu vas les souler, lui dit P’te voix. Non, ils doivent savoir ce que j’aime. Je me lance. Les dix premiers venus… Francoise Sagan Bonjour tristesse Continuer la lecture#L4 – du bon usage de sa « Sentimenthèque »

#L4 |la nostalgie du crabe

D’Enid Blyton, de Oui-oui et la gomme magique, le pouvoir, l’angoisse et la magie, la possibilité d’un espace qui ne soit pas et d’un espace qui soit sans, la possibilité d’un ailleurs l’ailleurs. (Italo Calvino, Fred) De Robert Musil, de L’homme sans qualité, le point d’interrogation, l’infini et le visage brisé sur la couverture – si j’aperçois le monde à Continuer la lecture#L4 |la nostalgie du crabe

#L4 Il n’y avait pas de livres.

Il n’y avait pas de livres. on les a rencontré un par un poussé par l’admiration commune, l’envie d’en être, le désir d’échapper au quotidien plat Un homme qui lit tient en cercle autour de lui l’ombre portée de tous les livres qu’il a lu ils le hantent comme des fantômes l’absorbent dans une rêverie de lecture réalisent un autre Continuer la lecture#L4 Il n’y avait pas de livres.

#L4 – COMMENT (PERSO) J’AI APPRIS (UN PEU) À ÉCRIRE (UN PEU) EN LISANT (BEAUCOUP) : ÉPISODE 1 : LA MATRICE

D’Artaud : quoi (kwa kwa) ? possible (donc) de naître sans papa sans mama ? en te dotant d’un maître (paradoxe) bien plus fort (énergétiquement parlant) que n’importe quel papamama & te bloquant (t’empêchant d’être) des années durant tant sa force (son impact) était terrible (terrific ou terrifiant) & sa puissance te ravageait. De Burroughs : permis de voler (ou Continuer la lecture#L4 – COMMENT (PERSO) J’AI APPRIS (UN PEU) À ÉCRIRE (UN PEU) EN LISANT (BEAUCOUP) : ÉPISODE 1 : LA MATRICE

#L2 Le gardien

Tandis qu’elle se recueille sur la tombe, le gardien du cimetière s’apprête à fermer la grille après avoir fait un tour pour prévenir les retardataires de se diriger vers la sortie. Sans qu’elle s’en rende compte il l’observe attentivement, comme il surveille tous ceux qui s’aventurent sur son territoire. C’est lui le maître des lieux et il entend bien faire Continuer la lecture#L2 Le gardien

#L3 | La nuit mérite aussi qu’on l’écoute*

Qu’est-ce que je fous là? Qui m’a appelé? Encore lui. Se momifie, respire à peine, allume, regarde partout, chaque fente, chaque béance même la plus minuscule, éteint, quelque chose a vacillé, rallume. Il l’a appelée deux fois, elle sait et pourtant se moque, lui dit que je n’existe pas, qu’il n’y a rien. Je ris. Je n’ai pas de bouche, Continuer la lecture#L3 | La nuit mérite aussi qu’on l’écoute*

#L4 sur une île

De Margaret Mitchell : Autant en emporte le vent, pour demain sera un autre jour De Jules Vernes : Michel Strogoff regarde, regarde de tous tes yeux De Alessandro Barricco : Soie le goût d’une histoire qui prend son temps De Ito Ogawa : la papeterie Tsubaki mon entrée en littérature japonaise, atmosphère feutrée, douceur des phrases. De Hubert Haddad : la découverte d’un formidable Continuer la lecture#L4 sur une île

#L3 Dans quelle langue, la ville

Pa… šta dođavola ona radi ovde? Pa sad imamo turiste, hum? Ne trebaju nam turisti. I pada jebeni sneg, šta dođavola ona radi pod snegom, čeka glupo? Pa … to nije moj problem. Hajde, hajde. Nije moj problem, devojčice. Gde je moj čaj? Već je hladno … Moram da kupim novi čajnik. Mačka opet mijauče … Hajde… Dolazim, dolazim … Continuer la lecture#L3 Dans quelle langue, la ville