#L4 Dans le dedans

De Sophocle Tragédies, jamais loin de moi ce recueil, petites épaules pour univers trop grand et chante le coryphée, chante, dis ce que tu vois lorsque nous sommes aveugles ou sourds, lorsque les corps se débattent et le monde qui (s’)abat De Rahimi Syngué sabour, de la parole comme libération de toutes les violences, dire, dire, dire même si, seule la Continuer la lecture#L4 Dans le dedans

#L4.Quelques livres.

#L4. Patrick Chamoiseau. Sentimenthèque. De Simone Weil. La pesanteur et la grâce. parce qu’elle m’a aidée toute ma vie. Une philosophe travailleuse en usine, militante, une femme mystique qui a tout compris. De Saint Jean de la croix. La nuit obscure. Le détachement du monde, la recherche d’absolu, la nuit de la foi. De Leonardo Boff. La terre en devenir. Continuer la lecture#L4.Quelques livres.

#L4 Mes pousse-à-écrire

D’Edgar Allan Poe, Histoires extraordinaires. L’esprit aime la logique, sait résoudre les histoires les plus étranges pour peu qu’il s’entraîne et analyse le fil ténu des pensées. D’Agatha Christie, Le cheval à bascule. Les greniers regorgent de trésors, pour peu qu’on sache lire avec attention les lettres soulignées dans un livre : alors l’énigme commence et nous tient au corps. De Continuer la lecture#L4 Mes pousse-à-écrire

#L4 | Ouvrir les portes

De tous les bouquins de Paul Auster, j’ai gardé le souvenir de cette voix qui me parle au plus profond de moi. J’ai dévoré Paul Auster mais je suis incapable de m’étendre sur ses livres. Il m’a parlé au creux de l’oreille jusqu’à ce que j’arrête par indigestion. Il a fallu que je demande à ce Monsieur de sortir de Continuer la lecture#L4 | Ouvrir les portes

#L4 | Appel au livre appel au monde

De Enid Blyton : Le  club des cinq :  mon premier amour : Mick. De Dumas père : pour l’urgence à remonter chez moi  retrouver Edmond Dantès. De Rimbaud : la liberté, les poches trouées, le frou frou des étoiles. De Joyce : la touffeur  époustouflante repoussante. De Camus : la découverte que l’on a le droit d’ être autre, que l’on peut ne pas adhérer au Continuer la lecture#L4 | Appel au livre appel au monde

#L4| Lectures

De Martinson, Le Chemin de Klockrike (ou La société des vagabonds), pour la fluidité et créativité des images, son final. De Nin, les Journaux, ses carrefours, ses portraits et ses rencontres. De Miller, Les livres de ma vie, lu adolescent, pour son enthousiasme à parler de ses lectures et auteurs préférés. De Bauchau, L’enfant bleu, pour son écoute de l’enfant Continuer la lecture#L4| Lectures

#L4 | Puiser des forces dans sa sentimenthèque

Ces lectures d’enfance où seul sur l’îlot de mon lit je voyageais avec Sans famille d’Hector Malot, Michel Strogoff de Jules Verne, Michaël chien de cirque de Jack London, Le grand Meaulnes d’Alain Fournier, Le Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde, Robinson Crusoé de Daniel Defoe à moins que ce soit la version de Michel Tournier Vendredi ou la Vie Continuer la lecture#L4 | Puiser des forces dans sa sentimenthèque

# L4 sentimenthèque en devenir – essai

d’Edith Wharton: la neige écorche longtemps après la chute .Le nom d’ Ethan From ouvre encore une émotion que lire au ralenti n’a pas éteinte. de Victor Hugo: Olympio pleure . L’alexandrin berce un chagrin de fin d’enfance. On n’en rougira pas. de Garcia Marquez: le temps s’accroche aux noms qui recommencent . Carthagène des Indes ,un monde relié en Continuer la lecture# L4 sentimenthèque en devenir – essai

#L4 | Mes 10, et l’ordre ne compte pas

De Mes Amis d’Emmanuel Bove, pour l’écriture de la velléité et de la solitude, le peu d’intrigue, la forme simple et ultra efficace, la géniale subtilitéDe Tristram Shandy de Laurence Sterne, le plaisir de se perdre dans les digressions, trouver ce foisonnement délicieux, ne pas savoir si le livre a un sujet et aimer ça.De Les saisons de Maurice Pons, Continuer la lecture#L4 | Mes 10, et l’ordre ne compte pas

#L4 sentimenthèque

de Camus : l’Étranger. Infinie marche éblouie au milieu du soleil jusque dans le four des cris – des mots fous d’errance désincarnée une vie dépouillée jusqu’à l’effarement, dénudée à l’os posée au bord du monde éternel et indifférent. Être parlé comme un poisson dans les mailles du filet – malgré et en dépit – S’y tenir absent jusqu’au vertige. Parler Continuer la lecture#L4 sentimenthèque