#L4 | Sentimenthèque en désordre, avec ou sans sel.
D’Annie Ernaux, comment dire le père du bout des mots et la femme au bout de soi. De Søren Kierkegaard, le choix pour la vie d’esthète et les ruptures de fiançailles. D’Edgar Hilsenrath, la langue qui coupe là où ça fait mal dans les histoires de fils de pute. De Pierre Michon, les phrases qui s’imposent comme des épiphanies en Continuer la lecture#L4 | Sentimenthèque en désordre, avec ou sans sel.