27 nuits après la fin du monde
Je n’aime pas qu’un 27 septembre vienne pour parler d’un mort. Ça ne s’est très probablement pas passé un 27 septembre, mais ça y ressemble tellement. Le 27 septembre est toujours le sursaut qui intervient juste après le mur de ciment surmonté d’un barbelé qui grignote la route. Il pousse droit et s’enroule dans une peau sourde qu’il faut gratter Continuer la lecture27 nuits après la fin du monde