Sentier
Sous le pont. L’herbe cesse, c’est la terre nue. Détrempée en hiver, toujours humide l’été. L’été la fraicheur de l’ombre, l’hiver l’humidité pénétrante. L’eau verte, qui roule doucement. Sauf après les jours et les nuits de pluie, dont elle revient bourbeuse et chargée. Le chemin, l’ancien chemin de halage, sûrement. Aujourd’hui seulement les promeneurs, les joggeurs, les chiens. L’hiver rien. Continuer la lectureSentier