#écopoétique #09 | aux portes de l’enfer
Je serai bien descendue jusqu’au miocène comme me l’avait proposé le président du service des eaux.J’ai préféré descendre dans l’abri d’Amir Tibon*« une seconde, deux secondes, trois secondes. Nous avons atteint l’abri et refermé sa lourde porte en fer. »Le bunker n’est pas en sous-sol mais à la surface. C’est là que ses filles dorment fenêtre ouverte. Habituellement.Ils ont refermé la plaque Continuer la lecture#écopoétique #09 | aux portes de l’enfer