#écopoétique #04 I Ananas et voie ferrée
Récapitulatif au micro, avec vent du soir, gestes d’agacement contre les clés dans la poche et soupirs de dépit Cela faisait cinq jours entiers que je n’avais pas quitté le jardin. Plusieurs fois, j’avais vu du mouvement du côté des cartons des réfugiés, au pied du talus de la voie ferrée. Cet après-midi, j’ai eu envie d’aller dans cette direction Continuer la lecture#écopoétique #04 I Ananas et voie ferrée