autobiographies #07 | déporté au vestibule
Dans mon rêve, la mort m’avait placé là, au coude du vestibule, bon endroit finalement pour prendre en triple perspective l’ensemble des passages de la vieille maison. En glissant sur la droite, le passage est facile par la porte de la cuisine, toujours béante du plus loin de l’enfance mais toujours surmontée de ces carreaux encollés d’un plastique à facettes Continuer la lectureautobiographies #07 | déporté au vestibule