autobiographies #01 | paysages autobiographiques
Dans la famille on disait que si le grand -père avait acheté cette maison pour sa retraite, c’est que le paysage des Albères lui rappelait celui du Tonkin, les collines vert bleuté au loin et l’eau partout présente. Le souvenir qu’il en a lui est celui d’un naufrage. La plupart des maisons vides, parfois louées, souvent abandonnées. Quelques unes habitées Continuer la lectureautobiographies #01 | paysages autobiographiques