Les lieux

Habiter une maison familiale. C’est entendre les cris des petits enfants. Vivre de moments partagés. Sentir le soleil sur sa peau, capturer l’odeur de la lavande et marcher ensemble ! Habiter un voilier. C’est vivre au rythme des vagues et se laisser porter. C’est accepter les tempêtes, la mer calme, le silence de l’homme. C’est aussi s’émerveiller de l’environnement marin Continuer la lectureLes lieux

Journal de Bord

Une tente ça peut être un rêve qui se transforme et apparait au matin comme la réalité. C’est la surprise de l’horizon et l’émerveillement d’un monde inconnu. C’est le bonheur de la découverte de la nuit. 1 _ JUIN 2018 : Habiter la tente HUBBA HUBBA, 2 places, 500€, 1, 125 kg : une affaire. 2 _ JUIN 2018 : Continuer la lectureJournal de Bord

Le rire

C’est un moment de tension dans un trop plein de liberté. Une fraction de seconde hors du temps sur un visage défiguré par l’instant. Les zygomatiques crispés, les larmes débordantes, le corps plié dans un manque d’oxygène soudain.. Rien de moins convenable qu’un fou rire en société, bien trop sonore et bien trop incertain.

Frisson

Une force inconnue parcoure mon corps. Ce n’est ni le froid, ni la peur qui l’envahit, et pourtant il frémit. C’est une extraordinarité, une solitude face au temps. Qu’est-ce que j’ai pu oublier dont il se souvient, qu’il essaye tant de me rappeler ? Un souvenir lointain, onirique ? Ou est-ce qu’il créer et m’apporte des saveurs nouvelles ? Qu’importe, Continuer la lectureFrisson

Le silence ou le chant

Lorsque dans le coeur du coeur il n’y a plus rien, le cri de l’âme se jette dans les flammes de l’oubli. Les épaules se terrent, l’esprit se creuse, les anges passent et ne nous voient plus, puis les Hommes passent et ne nous aiment plus, puis soi-même on ne se perçoit plus. Alors je cris mais le cri n’est Continuer la lectureLe silence ou le chant

Chemin de fer

Une lumière, elle me pique, m’aveugle, dans l’obscurité glaciale, elle me noie de ses rayons. Elle pénètre dans le seul gouffre de mon corps resté ouvert ; c’est là qu’elle devient de plus en plus tranchante ; tout s’active autour, cavité comme un entrepôt où se déposent des choses, elles sont glaçantes et imperturbables, s’accrochent à ma chair, la tirent, la broient. Continuer la lectureChemin de fer