# 40 Jours # 33 | Les petites peurs et les grandes

La vocation des médecins est de soigner – « Guérir parfois, soulager souvent, consoler toujours ». Alors pourquoi certains médecins sont-ils maltraitants ? Discrimination, jugements de valeurs, violence verbale et physique, gestes imposés ou archaïques, ces brutes en blanc enfreignent la déontologie et la loi. Martin Winckler décrit ici les rouages de la maltraitance médicale et les moyens de s’en Continuer la lecture# 40 Jours # 33 | Les petites peurs et les grandes

#40jours# 32 | A quai

 Cabane du bouquiniste, un jour d’errance sur les pas de. Et tu le vois, couverture sous feuille de papier cristal. Tu l’as déjà mais pas en collection Poche. Les pérégrinations te guident et tu repars avec contre toi les Cahiers. Les mêmes qu’avant la catastrophe. Rachetés. Escalier : tu descends près du fleuve, sur le quai et tu ouvres au hasard Continuer la lecture#40jours# 32 | A quai

#40jours #33 | résistances.

Chaos des villes, insensé le feu, rouge, orange,vert, le carrefour giratoire, laisser la priorité à celle ou celui qui s’engage, sûrs de leurs bons droits, barbarie des villes,On s’en fout du droit connard on prend le gauche. Bondir, tuer, ou tenir, patienter, se taire, laisser passer l’inquiétude, rester humain surtout et être con, quelle importance, cela devient la routine qui Continuer la lecture#40jours #33 | résistances.

#40jours #LaFabrique / Le rythme est une variation permanente

J’ai commencé le défi du 40 jours d’écriture avec 2 ou 3 jours de retard, parce que je devais terminer la version finale finale finale de ma thèse de doctorat. Après, je me suis fait prendre par les aléas de la vie, car je terminais des trucs au boulot, puis mon mariage m’a pris quelques jours. Par la suite, j’ai Continuer la lecture#40jours #LaFabrique / Le rythme est une variation permanente

#40jours#32 | une madeleine pleure

Le paysage ocre, la chaleur étouffe les sens, seules les cigales dans ce petit village d’Italie. Les tomates sèchent au soleil, la lenteur s’affiche combative. On y rejoint le Parrain dans un village de Sicile. Une vieille voiture pressée, un nuage de poussière sur le visage bronzé, marqué. Le climat aride dessèche la bouche, tu cherches l’eau, les combattants prêts Continuer la lecture#40jours#32 | une madeleine pleure

#40 jours #30 | batman

Avec une nouvelle légèreté, il arrive à Londres sans un sou en poche. Il fait la manche à Victoria Station. Pas grand-chose, rien de grave, il dit simplement qu’il lui manque one pound pour prendre son billet de retour chez lui. Parfois, cela marche et il reçoit dans le creux de la main une lourde pièce de one pound, d’autres Continuer la lecture#40 jours #30 | batman

#40jours #33 | Tirer son épingle du jeu

J’ai mis du temps à comprendre que ce qui me faisait peur, enfant j’ai toujours été très craintif, pas très courageux, je préférais me défiler face à l’adversité, fuir le conflit, me cacher pour éviter les embrouilles, ce n’était pas le danger, la violence des plus forts, des méchants, bien sûr devant eux j’étais impuissant, la violence me tétanisait, je Continuer la lecture#40jours #33 | Tirer son épingle du jeu

#40jours #17 | Le soleil n’est pas au zénith

1. C’est l’été. Elle court. L’urgence des dates butoirs la rend stressée. Ses difficultés personnelles doivent disparaître, laisser toute la place aux obligations professionnelles. Bien que sa fille et son conjoint occupent son esprit, elle garde le cap, se concentre. En courant pour récupérer un disque dur qu’elle avait oublié à l’atelier, ses cheveux lui tombe dans le visage, obstrue Continuer la lecture#40jours #17 | Le soleil n’est pas au zénith

#40jours #31 | Femme de dos

Une femme de dos. Elle porte un pantalon blanc et ample. Elle ne marche pas comme Charlot, mais son pas est hésitant. Elle s’approche d’une voiture. La rue est déserte. Ce n’est pas la nuit c’est le jour. Elle farfouille d’une main dans son sac à main, elle est gênée par le gros paquet qu’elle porte de l’autre côté. Elle Continuer la lecture#40jours #31 | Femme de dos

#40Jours #32 Des villes absentes aux numéros de bus.

Les villes lues dans l’enfance sont passées comme inaperçues, peut être parce que l’identification n’a pas fonctionné ? C’était plus facile de se camper dans les campagnes, les bois, les lieux dits à noms qui font peur. Où sont passées les villes lues dans l’enfance ? Enfouies. Impossible souvenir malgré les heures passées à lire. Pourquoi cette angoisse citadine inconsciente ? Le bouleversement Continuer la lecture#40Jours #32 Des villes absentes aux numéros de bus.