prologue à 40
c’est au bar, place de Clichy, j’attends sans doute quelqu’un – il n’est pas trois heures, c’est l’après midi – « au bout du téléphone il y a votre voix » chantait l’asperge : ici au bout du boulevard il y a votre tombe – parfois je me dis que, probablement – ça dépend de qui, au fait ? – c’est ici Continuer la lectureprologue à 40