#40 jours #31 sous le choc
Ce qu’il y a derrière moi s’efface comme un chemin qui se referme, l’oubli fait disparaître les lauriers de la grille bleue, comme la pluie dilue les traces d’un crime, on marche avec la certitude de ce qui s’est passé ne troublera en rien l’équilibre du monde, on marche en accumulant les paysages, les villes, les enseignes colorées, les trottoirs Continuer la lecture#40 jours #31 sous le choc