#40jours #16 | Calepins et bouts de papier

Tu auras rapidement fait le tour de la question, tu as très peu écrit en dehors de chez toi. Fin des années 1990 début 2000, quelques nouvelles, chez toi. Années 2000 à 2015, poésie, souvent chez toi parfois dans les transports en commun essentiellement des idées jetées sur des carnets ou sur des bouts de papier. A partir de 2019 Continuer la lecture#40jours #16 | Calepins et bouts de papier

#40jours #16 | On n’est pas sérieux quand on a 17 ans

Dessin sur logiciel Procreate

C’est quoi un écrivain, c’est quoi un peintre, dans la tête des gens qui te sont proches c’est toujours plus ou moins une chimère. Ils n’y croient pas vraiment, il leur faudrait des preuves sans doute, un livre publié, un article dans un journal, avec ta photographie dans une exposition entouré de tout un tas de personnes, une ambiance qui Continuer la lecture#40jours #16 | On n’est pas sérieux quand on a 17 ans

#40 jours #16 | Les habitants du parking

Peu d’expériences d’écrire dans la ville autre part que devant le grand écran de l’ordi. Cette fois-là, restée vive à la mémoire peut-être parce que pas nombreux ces moments. Cet été-là, décidé de prélever des blocs au réel. Écrire sur le motif donc. Pour soi, une expérience de la ville plus périurbaine qu’urbaine. Écrire in situ donc depuis la périphérie Continuer la lecture#40 jours #16 | Les habitants du parking

#40jours #16 | écrire en ville… voilà le gros morceau

Voilà comment ça a vraiment commencé. Mathilde travaillait en ville , depuis quelques années, d’abord à Bron dans l’hôpital psychiatrique rebaptisé Centre Hospitalier Spécialisé pour ne plus faire peur aux gens, elle y a soigné tous les âges de la vie et accompagné les patients les plus marqués par la maladie, elle aimait le travail d’équipe, seul rampart à la Continuer la lecture#40jours #16 | écrire en ville… voilà le gros morceau

#40jours #16 | première gnosienne

À l’époque, je n’écrivais pas. Et j’ai entendu un jour à la radio Charlélie Couture, le chanteur, parler de l’atmosphère de New York et dire qu’elle avait une tonalité particulière qui faisait qu’on y écrivait comme nulle part ailleurs. Pour, moi, pour écrire, il suffisait de prendre un papier, un crayon et voilà, question d’inspiration. J’ai gardé ça en tête, Continuer la lecture#40jours #16 | première gnosienne

#40jours #16 | qu’on ne te demande rien

Pourquoi c’est plus facile quand ça ne devrait pas. Dans le bruit, dans ce qui bouge, dans la vibration et le défilement du train. Dans les heures coincées dans tel aéroport et pourtant tu sais si bien ce qui en est sorti. Ta façon dans les gîtes, les hôtels, de commencer d’abord par trouver où tu poseras ta machine, et Continuer la lecture#40jours #16 | qu’on ne te demande rien

Protégé : #40jours #prologue | Les façades

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