La poésie comme arme, compagnon de route, ligne de conduite, ouverture au monde …
Lire et relire « Chardon argenté » pour tenir sa route , au cas où des tentatives d’égarements se présenteraient, texte toujours présent dans mes cahiers, dans mon ordi , dans la case « ne pas oublier » de mon neurone spécial Poésie.
Emmanuel Terray , qui a écrit la préface, a été un de mes profs inoubliables ( mais c’est hors sujet)
Chardon argenté
S’en tenir
à la terre
Ne pas jeter d’ombre
sur d’autres
Être
dans l’ombre des autres
une clarté
[Un jour sur cette terre, Reiner KUNZE, Traductrice : Mireille GANSEL
Avec une préface d’Emmanuel Terray , 2001, Cheyne]