Vibre et bave comme cœur lâché libre sans la laisse des côtes petit bouledogue français palpite et souffle carrelage à raser ventre quinzième étage de l’immense tour du quartier chinois coeur au bras jusqu’à l’ascenseur pour pas l’hernie discale virgules des pattes trop courtes pour descendre et monter tontontanguyettatacécile c’est leparis de la fin août de la première année d’arriver l’année devant très réelle et irréelle petite diaspora niçoise et discrète parentèle je dormirai ici les deux nuits d’avant le foyer de septembre et chaque août revenu repasser devant sans entrer tontontanguyettatacécile et le chien lui fonctionnaire des trains et elle tellement tactile tous les deux si gentils la capitale sous l’immense tour sirop et tatin pose ton sac ici et si dix ans après devant les tours à chaque bouledogue j’y pense je ne passe plus voir tontontanguyettatacécile moins peur d’ailleurs de l’ultime ascenseur du chien que de dix ans après et treize étages dessus trop bien savoir que Paris a vieilli.
Puissant !
l’immense tour du quartier chinois ! Ne s’est pas fait manger heureusement le petit bouledogue français…personnel et touchant !
moi non plus ne vais plus voir tontonguyettatacécile… les agglutinés font ressortir les blancs…
Superbe ! A lire à voix haute ! ça rythme ça pulse ! et c’est touchant ces bouts d’humanité entre chaque blanc.