Tu écris, tu ec…cris, tu ..cri…es, du son, à l’origine
Du larynx-labyrinthique de l’oubli, tu cries
Cordes vocales emmêlées, tu cries
Et puis, le voilà, le cri, l’enfoui du regret,
De la crainte , de la peur, de l’oubli, tu cries
A tout jamais, le cri, au-dessus de la faute,
De la peur, de l’horreur
Bouche ouverte, tête nue,
Mâchoire et corps écartelés, tu cries
Gorge ensanglantée, qui racle ses mots, tu cries
De l’enfui du regret, du remord, du repli,
Ni lumière , ni appel d’air, tu cries,
Dans le noir, dans le bruit, dans la nuit, tu cries
Et puis le voici,
Remonté d’en bas, du creux des reins
L’inavouable petite mort, tu cries
C’est fou ce que le cri et le corps sont toujours si forts dans cette proposition, cette partie animale, que l’on lit et que l’on pourrait presque entendre, bravo Carole.
Merci Clarence, j espère trouver un peu de temps pour lire et faire mes retours, à très vite;
Ils chantent bien tous ces cris, merci
Merci, à très vite.
Tous ces cris qui s’enchaînent, et terminer par un cri de jouissance. Hors contexte, c’est inattendu !
Merci pour ce retour, Oui le dernier cri, car la vie l ’emporte sur tout!,
Cri de jouissance, cri de naissance…