#boost ||1-4|-|5-6|-|7||

ST 1

La Tere* d’apparence première amas immobile et froid, voilà tout ce qu’une paire d’yeux peut en dire au premier regard, et qu’ « on » ne vienne surtout pas me dire auttre chose. La Tere* c’est fait pour enterrer les morts, qu’ils soient vivants ou non.

ST 2

Que l’ « on » croit tour à tour, ou tour de langue ou de langage après tour d’esbrouffe ou d’humilité, la posséder, la travailler, en être issue, etc. à la fin, et sans avoir besoin d’aucune syllabe pour s’en glorifier ou s’en culpabiliser, c’est toujours bien elle qui nous bouffe.

ST 3

La Tere*, je la déteste, parce que j’en suis issue et que j’y retournerai, quels que soient mes vers, ce sont ceux d’elle qui se régaleront de mes chairs, c’est elle qui les accommodera selon ses principes, ses recettes et autres procédés auxquels aucun mot d’aucune langue n’aura jamais accès de plus de quelques papilles, auxquels je ne saurai être qu’un maillon sans même en connaître le mode de cuisson.

ST4

Tere* : parce qu’un décalage peut amener à percer et voir autrement

Auttre : parce qu’un décalage peut amener à percer et voir autrement

Chairs : ahahahahaha !!!!, je vous l’avais bien dit.

ST 1

Etes-vous prêts à payer le prix du mouvement ?

17 minutes

Picasso : «  les femmes vont être le carburant de Picasso », si « vrai ».

 « Vous ne croyez pas qu’il aurait aimé gardé ses femmes et ses enfants près de lui ? » «

 Ah oui, oui…un grand château, chaque une dans une pièce, mais il l’a dit le pauvre « je peux pas toutes les tuer !!! », conception, sa sœur est morte à 7 ans.

« j’ai été frappée par son regard », Geneviève Laporte

« son univers bohème, fantaisiste, fait craquer toutes les femmes autour de lui… »piège, le « savait-il » ? Pouvait-il faire autrement ?

« il signe les nappes des restaurants pour payer l’addition »

Paulo, le fils de Picasso, rêve d’être pilote automobile, finit chauffeur de son père et quémande sa paye.

Dora Maar, photographe et maîtresse= Guernica, 1937

2037= ???

La première porte dont je me souvienne. La porte de l’appartement 9/11 boulevard d’alsace-Lorraine à Metz-Borny. Elle est énorme, lourde, sombre mais a une poignée dorée et ronde avec un petit rond au milieu. Elle est énorme et lourde et sombre et a une poignée dorée et ronde en son milieu sur la droite. Elle est à la fois semblable à toutes les autres portes de l’immeuble du quartier et unique, parce que c’est celle que j’utilise tous les jours. Je ne touche jamais aux autres portes. Je m’approche de la porte. Je cherche une clef. Je crois. Je ne suis pas sûre. Mais je me vois mettre une clef. Je crois. Je ne suis pas sûre. Ce dont je suis sûre c’est qu’il me faudra les deux mains pour tourner la poignée. Et tout le reste du corps pour la pousser. Pour entrer. Et encore tout le reste du corps pour la refermer. Et mes deux mains pour retourner la poignée dorée à l’intérieur. Pour la fermer. Pour ne plus être dehors. Pour être à l’intérieur. Non pas que je m’y sente mieux ou moins bien. Juste pour ne plus être dehors. Le bruit. Le bruit de cette porte. De loin. Elle est lourde. Elle est bruyante quand on la ferme. Elle est bruyante quand on l’ouvre. Mais ce n’est pas le même bruit. Quand on l’ouvre elle gémit. Quand on la ferme elle claque lourdement. Comme si quelque chose étouffait son cri. Comme si elle ne voulait plus qu’on l’ouvre. Jamais. Qu’elle essaye de le crier. Et que quelque chose la bâillonne. Elle supplie en grondant. Etouffée. Laissez moi fermée. Arrêtez de m’ouvrir. Et à chaque fois qu’on l’ouvre elle gémit. Elle ne comprend pas. Pourquoi. Ils n’arrêtent pas de l’ouvrir. Pourquoi. Ils n’écoutent pas. Elle ne sait pas quoi faire. Elle ne peut rien faire. Alors elle va continuer de gémir quand on l’ouvre. Et gronder quand on la ferme. Tout en se faisant étouffée. C’est tout ce qu’elle peut faire. Ce n’est qu’une porte après tout.

Mardi 25/02/25

Liste de quoi si pas de femme ? femmalex falex hommalex sôt l’y lex

Personnages qu’on appelle à nous ?

Qui sont les personnages du métamicien, en alexandrin ?

Alex-ia, Alex-ugo, Alex-

Incantations pour verset avec de l’humain dedans en 1 ou 2 ou 3 lignes

Une femmalex qui s’écrinie haut et fort du clavier

On peut en faire des listes (on peut toujours faire des listes avec tout) ; ces femmalexes et hommalexes  et sôt-l’y-lex et enfantalex et les Zautres sont toustes réellles :

Une femmalex qui s’écrinie haut et fort du clavier sans lettres parce qu’elle s’est brûlées les peaux du dehors au piano gris fonte

Un sôt-l’y-lex qui court, court, court, de peur de se faire pendre de n’avoir pas scaramouché l’adendum dudit volaillon avant que de.

Un hommalex pressant pressé précis ou pressé pressant précis ou encore précis pressant pressé déposant SA productionite aigüe issue hissant hénissante sur le marbre encore chaud de la décapitation du volaillon, ou du sôt-l’y-lex, c’est selon le jour ou la nuit du dedans du dehors

Un enfantalex recourbé yeux errants héraut de la Katastrophe en cours s’amusant le temps d’être dés couverts.

Un chatalex se prélassant prélassement sans hâte se préparant à la fuite aux premiers coups de torchons.

Des clientalexes alertes avertis et consentants se préparant avec hâte aux premiers coups de torchons.

Des passalexes assis dévorant déjà chaque instant en cours de pré-mâchage cumulant charges et décharges, comptant sans chiffres, énumérant sans liste, admirant sans miroir.

L’artpentie sans le sexe

Vue panoramique, comme une carte postale de l’ancien temps. Le ciel mange la moitié de la vue haute, bleu clair, qui semble être en pleine dégustation du vert des jardins du coteau. Le fleuve mange la moitié de la vue basse, bleu foncé, presque pas bleu d’ailleurs, tournant au noir par-dessous les reflets, qui semble être en pleine dégustation du vert de la petite plaine du bas. Entre les deux, dans les mâchoires des bleus, le village, en long, avec le château au milieu, à peu près, mais surtout en haut par rapport au village, posé au-dessus, surtout au-dessus. Le pont est artère nourricière, presque fémoral de ce corps qui n’en finit pas de se faire mâcher, mais sans violence non-nécessaire, simplement naturellement. Comme une vache broute de l’herbe, j’imagine, ce serait la vue qu’on aurait de l’intérieur de sa gueule.

L’artpentie ne sait toujours pas de quoi elle a peur quand elle arrive de ce côté du pont, alors elle a peur de tout. C’est plus facile à gérer que de chercher encore sans trouver exactement.

Cherche. De quoi a-t-elle peur ? L’eau, bien sûr, premier élément, se balader au-dessus de l’eau sur un ouvrage de pierre n’est pas anodin. Cherche. La pierre, bien sûr, deuxième élément, construire un pont au-dessus de l’eau pour prétendre avoir maitrisé la nature n’est pas anodin. Cherche. Le vent, bien sûr, troisième élément, celui qui souffle sans que rien ni personne ne puisse l’en empêcher, sans aucun contrôle. Cherche. Elle marche sur le pont au-dessus de l’eau et sent le vent sur la peau de son visage. Elle a peur, de tout.

De l’eau, de la pierre, du vent. Mais ce n’est pas encore ça.

Cherche.

De son corps en mouvement dans ces éléments. C’est plus par là.

Cherche.

De son corps.

Trouve.

Morceaux de miroir brisé, dans l’un des éclats (Osiris), un reflet de Trump en moi.

4 enfants, moi et Rodolphe, Doune et Elo/Ilhem

Symptômes de l’occidentalite.

Bloc paragraphe et utilisation du –

#boost #04 | Paul Valet, «tenir tête à»

—quatre —copier —coller —— quatre— copier—coller ——doubler — copier—coller —— doubler— copier—coller ——doubler — copier— coller—— redoubler—recopier — recoller——redoubler —copier — sauter une ligne——coller —ainsi de suite —insérer —— entre les tirets—pour ne pas s’y coller —pas encore ——il reste du temps —il reste de l’espace —mettre des lettres ——le temps de —mettre du temps —entre les lettres —— pour ne pas qu’elles collent—ne pas voir le chiffre quatre — insérer n’importe quoi—— des lettres encore—dans n’importe quel sens pourvu que —ce ne soit pas celui-là ——oublier —sentir la répétition prendre le dessus —comme un fluide ——encore un — contrôler—sans contrôler ——mais sans débordements — ne pas— quel est le contraire de ne pas ?—— ?— ne pas—ne pas——ne pas —où est cette futain de fin de paragraphe ? —ne pas ——ne pas —ne pas —l’impression de ne pas y arriver ——d’être débordée —que ce paragraphe n’en finira jamais —il n’y a pas de « x » ——il n’y a pas de fin à ce paragraphe —j’écris, il s’allonge —il n’en finira jamais ——tiret long —tiret court —j’ai encore copié de travers ——j’ai encore collé de travers — il raccourcit—à peine ——un peu quand même —plus que l’équivalent d’une ligne —quoi écrire d’autre ? ——je n’ai plus de lettres —c’est le clavier qui déroule —et encore cette ligne —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —

— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —

—ne pas tuer —ne pas se tuer —simple ——assez pour être suivi aveuglément —quand il n’y plus rien à suivre —quand tout déborde ——quand on est dans le gouffre —et que je ne sais pas quelle main se raccroche à je ne sais pas quelle paroi —tenir main à paroi ——pour ne pas tomber —pourquoi ? —il n’y a pas la place pour ce genre de luxe là-bas ——dans le gouffre —des comment, oui —plein ——des grands —des petits —des mal-foutus ——des cassés —des borgnes —des morts ——plein je vous dis —tous en fait —tous les comments sont dans le gouffre ——des qui sentent pas bon—des qui vous draguent de leurs atours séduisants—des putes ——des enfants —mais pas un seul pourquoi —on peut les voir au bord du gouffre là-haut de temps en temps ——quand ils se penchent pour tenter de voir le fonds du gouffre —pas longtemps —pas longtemps ——une fois j’en ai vu un tomber —j’ai tellement ri que j’ai failli lâché ma main —alors avec l’autre je me suis crevé les yeux ——juste —pour —ne ——pas —tomber —de ——rire —fin de paragraphe —

Début de paragraphe ——parfois on entend un cri qui tombe —une main qui a lâché probablement —alors on se demande ——lâcher —remonter —lâcher ——remonter —les premières fois on remonte bien sûr —c’est pas par choix ——c’est par peur —de tomber —on se surprend à avoir une autre main ——deux pieds —on prend conscience de morceaux de corps —par la douleur principalement ——on essaye —on s’errafle à la paroi —on prend conscience d’une peau ——par brûlure principalement —on en viendrait presque à vouloir ne pas en avoir —de  corps ——juste pour ne plus avoir mal —il n’y a aucune autre raison —juste pour ne plus avoir mal ——il n’y a aucune autre raison —fin de paragraphe — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —— — — —

Le cube à huit faces

La scène est découpée en six cubes allumés en alternance dont cinq selon le souvenir convoqué. Au centre, la scène au présent est allumée en premier. Une chambre, un lit, le noir, la lumière vient de la fenêtre sur un côté, la lune éclaire. Deux formes dorment ensemble sous les couettes, on les compte instinctivement par le nombre de bosses perçues. Trop pour un seul corps, pas assez pour plus de deux. L’une d’entre elle se réveille, et prononce les mots qui partent du rêve encore en limbes dans son esprit pour heurter le réel de la deuxième forme.

« J’ai honte… ! », s’écrit-elle doucement du rêve au réel, comme pour arracher les mots du rêve et les emmener dans le réel, parce que c’est nécessaire. La formule doit se trouver quelque part par là. son corps convulse, des gaz essayent de s’échapper par tous les orifices possibles, la deuxième forme, par habitude, lui masse le dos. Et les gaz sortent, par la bouche, entrecoupant les phrases. La première forme panique. La deuxième sait. Et les deux s’imbriquent, comme elles peuvent.

« j’ai peur… ! », crie-t-elle des dents molles qui ne peuvent rien mâcher parce que pas encore ici et pourtant plus là-bas. Les bras, la peau, le corps de la deuxième, pas encore ici et pourtant plus là-bas mais mieux habitués à ce non-espace et donc capable d’y être pour deux, réconfortent la première forme, qui, elle,  n’est plus nulle part. Elle la ramène doucement à la rive en se prenant des coups de panique en pleine forme.

« où est l’argent ? » pleure-t-elle sur la poitrine de la deuxième forme.

Fin de la première scène. Le cube s’éteint. Un autre s’allume sur un « souvenir ».

À QUATRE PATTES
Le seul mot de « visage » m’a tout de suite convoqué une seule image. Celui de cette jeune femme asiatique à quatre pattes travaillée par plusieurs hommes dont quelques occidentaux, de mauvaise mémoire. C’est qu’on ne va pas là pour se souvenir d’un visage, et pourtant.
« Quelle est la particularité de la mise en scène pornographique ? », question universitaire posée en enceinte protégée lors d’un T.D. on ne peut plus anodin, pour un étudiant, fut-elle de reprise et mal vieillie. Comme souvent, j’avais la bonne réponse, mais je ne savais pas d’où elle m’était venue.
« Le cadre… » soufflè-je dans un râle à moitié assumé, à la limite de la réminiscence directe de quelques consommations excessives de la période. J’avais tellement froid.
L’explication de la réponse qui ne manqua pas d’être fournie, je l’ai complètement oublié, je ne suis même pas sûre de l’avoir écouté sur le moment. J’étais parti là-bas, au froid, les ondes y passent mal. Mais déjà, son visage revenait. Pendant que je m’activais à l’activité dévolue à l’exercice, un détail me frappa le cristallin, au point de stopper toute activité. Elle le lança « regard caméra », m’interpellant, comme si j’étais entrée dans une salle sans prévenir pendant qu’elle préparait à manger, faisait ses devoirs, lavait la vaisselle ou se faisait sodomiser par une dizaine d’hommes, tout cela sur le même plan. Mes yeux ne pouvaient plus quitter son visage. Pas de râles
jouissifs poussifs, pas de bouches exagérément ouvertes suggérant les tailles des différents pénis pouvant y être introduits. Non, rien de tout cela.
Le visage légèrement oblique, à quatre pattes, nue, elle me regardait me renvoyant ma propre image au milieu de la saleté ambiante, des fluides mécaniques, les miens et les siens y compris. Elle avait les yeux noirs, la peau
blanche, une bouche à peine entr’ouverte sans mots, presque des larmes dans les yeux, mais pas en fait. Et elle me saluait. Je ne lui ai pas répondu.


Etudes de K


Trans-positionnements d’univers-sales-ités en modes alter-natifs.

« Ferme ta gueule. »

Ne pas faire semblant de ne pas l’avoir dit, prononcé, surtout si ce n’était qu’intérieur. Lever ce qu’il reste de tête attachée à ce qu’il reste de corps, dire « non », ne pas suffire.

Poser la main au sol et la fixer jusqu’à ce qu’elle ne soit plus noyée dans la matière et indifférenciable. Revenir à un Réel, quel qu’il soit, en tout cas ne pas se laisser enfermer là-bas, ce Réel-là n’est pas le tien. Essayer de la reconnaître, doigt par doigt, les rattacher à la paume, par la peau, par les muscles, par les tendons, par n’importe quoi, puis différencier le froid du sol et le froid de la main, jusqu’à ce que les yeux acceptent ce qu’ils voient.

Les liquides partiront des veines, les noirs, les bleus, les liquides sonores, ceux qui font un tel boucan dans les veines que je n’entends plus mon propre sang couler. Tenir, ne regarder que la main, qu’un doigt s’il le faut, tenir de l’œil au doigt, ne pas casser le fil qui n’existe pas.

Il se peut que cela dure une ou deux éternités. Revenir de là-bas, quel que soit l’état.

A propos de Alexia

Chercheuse par diplôme (Master 2, 2018) en littérature anglaise du 20ème siècle à Tours, indépendante car pas rattachée à une université pour l'heure, je fais des mousses au chocolat, des îles flottantes, du pain perdu caramel, des meringues, des crèmes brûlées...un jour, j'arriverais au niveau de la tarte au citron de Blanche!!! je l'aurais un jour!!! je l'aurais!!! En attendant, j'épluche aussi des pommes...

6 commentaires à propos de “#boost ||1-4|-|5-6|-|7||”

  1. Ré-flexions matinales: je n’ai jamais pris le temps d’étudier sérieusement la différence entre l’écriture manuscrite et claviérique, et pourtant. Il y a aussi cette histoire de voitures électriques (je n’ai jamais eu le permis, trop peur des voitures), si j’ai bien compris, il n’y a plus de levier de vitesse…?

    Combien d’autres « pénis » de substitution perdus?
    Les drones versus les fusils…bref.

    Merci du pas sage.

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