Important : pour accès au PDF, cliquer sur le titre ! Mise en ligne continue du dimanche au vendredi inclus, mais après on passe la suivante !
_ rappel : le sommaire général du cycle et ses vidéos;
_ la page Patreon avec le doc d’appui;
_ la carte des lieux décrits dans le PDF ci-dessous (merci Ugo Pandolfi).
• les textes (on propose jauge de 1800/2500 signes) sont envoyés à l’adresse mail du site, en fichier joint (.docx, .pages, .odt, merci éviter pdf), et sont à accompagner de 3 lignes d’un «codicille» sur l’écriture elle-même. Actualisation chaque matin pendant la période d’ouverture.
• libre à vous bien sûr (et même on recommande) de regrouper parallèlement vos contributions dans un article du blog à la façon habituelle;
La cartographie des déplacements de nos écritures fait signes
Rétroliens : #BOOST | nouveau cycle, nouveau protocole ! – le Tiers Livre | écrire, publier, explorer
je devrais sûrement me mêler de mes affaires ( juste une question) pourquoi mettre les noms entre les textes si on les a au début ( ça rompt un peu l’effet de continuité) ne garder que les repères géo? ou titres?
la table des matières est générée automatiquement, donc obligatoire installer les noms dans les titres, comme dans tout numéro de revue ? (tout cela à débattre bien sûr – mais l’ensemble me paraîtrait bien opaque si on n’indiquait pas le nom des contributeur·ice·s…?)
« opaque » j’aime bien ce mot ( je pensais juste table des matières) mais tu as raison surement pas assez « incarné »
J’ai beaucoup aimé la langue comme bout du monde de ton texte
@Lisa j’aime ce passage du bout du monde : sa suspension (sa « matrice »!). Comme quoi le bout du monde peut se trouver en plein milieu de tout
un « petit bout du monde » mais oui! c’est ça! et par ses chemins noirs le souffle et l’élan du commencement d’une aventure, chouette, mais qu’allais-tu y faire @Clarence ?
hey, faut laisser du mystère dans le hors-champ ! et le narrateur n’est pas forcément l’auteur ! merci d’ouvrir au dialogue, Christophe !
Chez Clarence Massiani, un très bel ensemble, je me laisse emporter par votre texte, ses images, ses bruits, les enfants et le café/bal/musette. Très beau.
Chez Olivia Scélo, cette phrase ‘C’est là que tout peut
recommencer et le reste s’épuiser.’, superbe !, et ce qu’elle gagnerait à être développée.
Chez Nathalie Holt, l’ambiance gris-noir – ça me fait penser à Simenon, j’aime beaucoup.
Chez Catherine Serre, le texte glisse, c’est beau. Et le poids, celui du paysage. Tout fait poids avec lui.
merci Annick, et tout d’abord de ta participation !
Merci à toi, ravie de vous retrouver
Et ce format PDF, il a de la gueule, forte initiative.
Les déplacements de nos écritures livrent une cartographie qui fait signes.
https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1PpJO2DNPXwtq76CcgSrxxF1qRCUtVKs&usp=sharing
Cette carte est uniquement actualisée à partir des coordonnées fournies par les auteur(e)s du #00 dans le blog de l’atelier et/ou dans le PDF de l’exercice.
merci !
on devrait pouvoir l’implémenter directement dans l’article…
il me semblait que s’était aussi formée une belle constellation de bouts du monde bretons…?
Rien à l’ouest de l’hexagone pour l’instant. Mais ça peut viendre d’ici dimanche.
Merci Ugo…
Oh génial!! Il me semble que j’ai fait une erreur en copiant mes coordonnées pour le PDF. Les bons c’est ça si jamais tu souhaites les ajouter
5°04’57.0″N 1°20’52.0″W
oh mais génial!
la cartographie fait signe … le Haïku, est une pierre gravée offerte au chemin , un beau détour @ugopandolfi
oui, la Bretagne est bien représentée ! ai pas réussi à intégrer la carte via le « iFrame » fourni par Google, même en passant en mode html pour le WordPress (alors que sur spip ça avait marché tout seul), suis preneur aide et conseils !
À présent le lien de la map Google fonctionne. Il y a par contre un doute à vérifier concernant le texte attribué à Simone Wambeke dans le PDF identique au texte de Raymonde Interlegator. À vérifier donc.
la cartographie fait signe … le Haïku, est une pierre gravée offerte au chemin , un beau détour @ugopandolfi
Jean-Luc, en conclusion ton bout du monde, c’est un axe!?
aime beaucoup l’idée de Christine selon laquelle un bout du monde — ce serait trop beau — se trouverait au bout de la nuit ; et d’un texte dont l’écriture en « passe par la nuit » (et comment faire sentir le nocturne ou le rêve dans le texte : un défi)
Ah c’est beau ça
je dois dire aussi que je regrette l’éparpillement des commentaires dans les pages perso (même si conscient des difficultés corollaires au fait de transformer cette page-ci en forum…)
Tout à fait d’accord ! Garder la lecture collective et réactions. Ce sera ma posturé pas de mise en lien personnelle.
Les commentaires par contre du coup ne sont pas transmis il faut faire retour ici mais ça aussi en vaut la peine. Et de comment dans cet étrange fil on se parle et répond.
A suivre
oui, ça je ne sais pas faire (pour transmission des réponses intra fil «récaps») mais c’est la 1ère semaine, on va bien trouver des améliorations ! – ai déjà augmenté le nb de commentaires répertoriés colonne de droite
Catherine, c’est ton intervention dans le zoom à propos du collectif qui me fait privilégier cette page-ci pour déposer mes commentaires, je crois que ça en vaut la peine
Catherine, comme pour Christophe, ton intervention lundi soir sur le collectif m’a fait pencher pour cette solution. La lecture y gagne. Pour les commentaires, je débute ce soir !
merci renouvelé Ugo pour la magie de cette carte (n’avais pas réussi à l’implémenter hier…)
une image — non ce n’est pas une image
merci Nathalie pour cette béance au cœur de notre monde
délicieux de se laisser, à l’imparfait, introduire en tels lieux et compagnie, Angelo (on en resterait sur sa faim)
bout du compte pour un bout du monde… ça a des côtés fin du monde fins de mois, merci Annick pour la visite
Merci Christophe pour ce regard.
Je passe vous/te lire avant dimanche.
A très vite.
Parasitages inhérents à cette folie (mienne) de transformer cette page en forum, mon message s’adressait à Annick Nay…
— et cependant ton escapade à Harlingen aussi m’a touché, Annick (de la Frise néerlandaise, je ne connais que Groeningen), j’imagine que les plages y sont de la même vase noire que côté allemand, à Dornum par exemple, où les moutons sont les mêmes — dans mon souvenir — que sur tes photos)
Mes excuses Christophe… et par contre, pas de Frise néerlandaise par chez moi, j’ai viré côté Marseille
bord du monde, oui, Cécile (où promener sans fin le chien sous les avions qui le contournent), rester ou se tenir humblement au bord (atterrir quoi)
d’entrée dans un film (que j’imagine politico-) noir (n’ai pas la ref…) : haletant, merci! Piero pour la plongée
Isabelle, je suis transporté, quelle marqueterie, bravo
À ce jour et à cette heure la cartographie de nos déplacements a été vue 564 fois. Elle comprend l’ensemble des textes du PDF de l’exercice dont les coordonnées et/ou le contenu permettent une géolocalisation. Seules deux auteures en sont absentes ( Christine Eschenbrenner et Carole Temstet) car leur texte ne livre aucune géolocalisation possible.
L’actualisation de cette carte sera quotidiennement effectuée jusqu’au lundi 10 février.
Hello Ugo
(ça y est je viens de la « lire » cette erreur)(j’y arrivais pas) (petit décalage Nord) (21 et non 12)(misère)( me souviens que je ne pouvais corriger les dictées, les lettres faisaient une soupe d’inversions à rendre aveugle) (je leur donnais le texte et les enfants corrigeaient eux-mêmes leur cahier)(le besoin créé la méthode pédagogique)(après j’ai filé en maternelle)
Si tu as envie et le temps de palier à mes erreurs géolocalisables sans me maudire
44.216807,2.987060
Sinon rien de grave !
Hello Catherine,
Correction apportée
Tu es désormais à La Valette
Merciiiii
Je trouve très agréable la lecture des textes les uns à la suite des autres, dans ce format pdf. Par contre je me demandais comment commenter, vous m’éclairez avec vos adresses, par vos arobases.
Dans vos bouts du monde, le monde souvent s’achève sur une ouverture, un infini, le ciel, l’eau (@Eve, ravie de te retrouver, mais quel terrible rêve !), la mer (@FrançoiseR, la présence de la mer, sa puissance!) et le temps s’y invite, j’aime les détails auxquels on reconnaît les bouts du monde (@Jean-Luc), et les lumières (@Clarence), et les brumes (@Catherine) et les bouts du monde qui me surprennent et m’émeuvent (@Laurent), et ceux qui portent des histoires (@Bernard), les épaves (@Ugo), l’insolite du quotidien, ouverture sur l’imaginaire (@Lisa), je ne vous cite pas tous, mais j’ai parcouru vos chemins.
Il me reste à me pencher sur la carte.
oh la la… mes plates excuses à Annick Brabant — c’est à Catherine Koeckx qu’aurait dû s’adresser mon commentaire sur Harlingen (je suis confus… perdu dans les latitudes)
Non, non, ne vous inquiétez pas… nous trouverons l’équilibre dans les latitudes tout bientôt… excellent week-end à vous.
Merci beaucoup Christophe pour ton commentaire et ta lecture ! Et moi je ne connais que Harlingen et l’île de Terschelling. Le sable y paraît sombre car il est humide. J’aime les plages de sable noir et j’ai pu en fouler en Islande ou à Lanzarote. J’ignorais qu’il y en avait en Allemagne…
Riche de promesses, Anh Mat, cette rue à la fois vivante et déserte (comme habitée d’elle-même… ou comme si elle n’existait que par le texte ?)
Lecture bercée (et relancée) par les « après » de Caroline Diaz (bras de mer…)
Merci Laurent Peyronnet pour ces voisinages (ces ajustements) de bouts du monde : intime/corporel ; géographique ; (historico-)métaphorique (« tous les points sont mobiles ») (et aussi pour le détail du codicille)
Helena Barroso… ton texte, c’est une carte postale pleine de vie… très beau. Couleurs, odeurs, paysage, gens… tout y est en quelques lignes. Concision. Justesse. Merci. Les baraques à beignets, ça me rappelle celles de la kermesse, on en mangeait – aux pommes – au moins une fois par an en famille. Ça réveille des souvenirs.
Merci infiniment, Annick !
Danièle Godart, j’aime l’idée des baies vitrées qui montrent la vie des gens la nuit. Et la petite vie de l’école primaire. Derrière un cimetière, ce que ça ouvre comme histoires. Et puis les bus, beaucoup de bus, ce n’est pas anodin. Et le paysage est bien planté, on le voit, on s’y promène. Merci.
Ce serait intéressant de faire un sondage, voir combien de bouts du monde touchent à la ville, combien à la campagne, la mer…
Helena Barroso, que j’ai aimé moi-aussi Cacilhas et longer les quais jusqu’au pont 25 de Abril. La rouille des mécanismes anciens. Le bourdement constant du pont. Frelons. Courant électrique. Et nuages en perpective qui semblent parfois s’y poser.
Oui, rien à voir avec l’autre rive. Un autre monde !
“Quando se sente de mais, o Tejo é Atlântico sem número, e Cacilhas outro continente, ou até outro universo.”
― Fernando Pessoa, Livro do Desassossego
Oh!!! Merci, Nicolas. Je ne me souvenais pas de ce passage. Encore merci!
Lisant présentement Noeuds de vie de Julien Gracq « ouvre entre fleuve et jardins une promenade couverte, un *bout du monde* (en italique!) à la fois scintillant et fleuri qui semble fait pour protéger et cacher dans chaque maison autant de bonheurs domestiques tapis entre rosiers et haricots. »
Véronique Müller, magnifique élan se cognant au deuil, ou comme s’il y avait un bout du monde en chacun de nous, ou sa menace
sentiment également éprouvé à la lecture du texte de Cécile Bouillot…
Me suis laissée déborder par le nombre de textes, pas simple de laisser un mot pour chacun ici, mais impression grisante de tour du monde à chaque texte une nouvelle découverte, merci à toutes et à tous
Après le zoom de ce soir, j’ai eu envie de découvrir quelques autres de vos bouts du monde
@Catherine K, une description précise et évocatrice à la fois
@Laurent P, j’aime beaucoup la phrase « le bout du monde n’est pas une question de distance, tous les points sont mobiles.
@Helena, merci de nous emmener si bien dans ce bout du monde, des images jusqu’au silence
@Cécile B, le rythme du texte, la force de la mer et du vent
@Fabienne, ce lieu dont tu décris les angles, les glissements et les incertitudes prend encore plus de relief avec ce que tu nous en as dit ce soir.
@culturezen à Eve François « Une eau en robe blanche se
déversant en chute libre dans un couloir long de plus de cent
mètres avec deux paliers, et venant se répandre dans un
bassin arborant les couleurs du soufre du volcan de la
Soufrière. L’air était très humide, l’écume des eaux
jaillissantes se confondait avec un léger brouillard, il ne
faisait pas chaud, mais le désir de communier avec cette eau
matricielle était trop fort. » …. Dix ans à vivre !!! Et le souvenir revenu par le « geyser à l’envers »… Reusement! Trente ans en arrière ! Et vous prîtes alors la plume…
@vmuller test
@pliotard Philippe Liotard la peur dépassée de l’enfant, le froid, la décision, « il ne reviendra plus jamais en arrière » . de frontière en frontière, « le monde continuerait. »
c’est amusant de voir ce que tu as pioché, et juste
@ françoise renaud : la langue si précise du pays que tu aimes . les vélos des enfants dans les vagues .
@Ugo !!!!!
Difficile d’oublier chaque texte et déjà en entrée la longue et belle progression et l’émerveillement en lisant Eve (avec la constatation de mon incapacité à mettee en mot et sans fate de frapppe de surcroit un commentaire) et de se faire page blanche pour les suivants les sensations et le dépaysement avec Patrick, la lutte de l’enfant contre la frousse le froid en dépassant le familier chez Philippe et la précision du récit, l’apparition retardée du elle qui ressent les odeurs les disgraces la curiosité du chemin chez Lisa, les couleurs lesformes la mer la leçon de vie et les limites humaines avec Laure… alors me tait même pour ceux que je goûterai encore davantage mais croyez moi je poursuis la lecture jusqu’à Gracia après une dénommée Brigitte, ai prévu temps et j’ai curosité.
ben non… en lisant vraiment comme cela se doit avec quelques pauses pour éviter mélanges je l’arrête avec la Durance retrouvée chez Raymonde.