#boost #00 | Bailly, rue du Bout du Monde

Important : pour accès au PDF, cliquer sur le titre ! Mise en ligne continue du dimanche au vendredi inclus, mais après on passe la suivante !

_ rappel : le sommaire général du cycle et ses vidéos;
_ la page Patreon avec le doc d’appui;
_ la carte des lieux décrits dans le PDF ci-dessous (merci Ugo Pandolfi).

• les textes (on propose jauge de 1800/2500 signes) sont envoyés à l’adresse mail du site, en fichier joint (.docx, .pages, .odt, merci éviter pdf), et sont à accompagner de 3 lignes d’un «codicille» sur l’écriture elle-même. Actualisation chaque matin pendant la période d’ouverture.

• libre à vous bien sûr (et même on recommande) de regrouper parallèlement vos contributions dans un article du blog à la façon habituelle;


La cartographie des déplacements de nos écritures fait signes

A propos de François Bon

Site géré par Tiers Livre Éditeur, fondé par François Bon, ISSN 2266-3010. Tous les textes restent la propriété de leurs auteurs, qui peuvent les supprimer ou modifier sans préalable. L'administrateur du site se réservant le droit de passer en mode privé toute contribution ne respectant pas les règles de bienveillance élémentaires dans une telle plateforme collective.

72 commentaires à propos de “#boost #00 | Bailly, rue du Bout du Monde”

  1. Rétroliens : #BOOST | nouveau cycle, nouveau protocole ! – le Tiers Livre | écrire, publier, explorer

  2. je devrais sûrement me mêler de mes affaires ( juste une question) pourquoi mettre les noms entre les textes si on les a au début ( ça rompt un peu l’effet de continuité) ne garder que les repères géo? ou titres?

  3. Chez Clarence Massiani, un très bel ensemble, je me laisse emporter par votre texte, ses images, ses bruits, les enfants et le café/bal/musette. Très beau.

    Chez Olivia Scélo, cette phrase ‘C’est là que tout peut
    recommencer et le reste s’épuiser.’, superbe !, et ce qu’elle gagnerait à être développée.

    Chez Nathalie Holt, l’ambiance gris-noir – ça me fait penser à Simenon, j’aime beaucoup.

    Chez Catherine Serre, le texte glisse, c’est beau. Et le poids, celui du paysage. Tout fait poids avec lui.

    • À présent le lien de la map Google fonctionne. Il y a par contre un doute à vérifier concernant le texte attribué à Simone Wambeke dans le PDF identique au texte de Raymonde Interlegator. À vérifier donc.

      • la cartographie fait signe … le Haïku, est une pierre gravée offerte au chemin , un beau détour @ugopandolfi

    • Tout à fait d’accord ! Garder la lecture collective et réactions. Ce sera ma posturé pas de mise en lien personnelle.
      Les commentaires par contre du coup ne sont pas transmis il faut faire retour ici mais ça aussi en vaut la peine. Et de comment dans cet étrange fil on se parle et répond.
      A suivre

      • oui, ça je ne sais pas faire (pour transmission des réponses intra fil «récaps») mais c’est la 1ère semaine, on va bien trouver des améliorations ! – ai déjà augmenté le nb de commentaires répertoriés colonne de droite

      • Catherine, c’est ton intervention dans le zoom à propos du collectif qui me fait privilégier cette page-ci pour déposer mes commentaires, je crois que ça en vaut la peine

      • Catherine, comme pour Christophe, ton intervention lundi soir sur le collectif m’a fait pencher pour cette solution. La lecture y gagne. Pour les commentaires, je débute ce soir !

      • Parasitages inhérents à cette folie (mienne) de transformer cette page en forum, mon message s’adressait à Annick Nay…
        — et cependant ton escapade à Harlingen aussi m’a touché, Annick (de la Frise néerlandaise, je ne connais que Groeningen), j’imagine que les plages y sont de la même vase noire que côté allemand, à Dornum par exemple, où les moutons sont les mêmes — dans mon souvenir — que sur tes photos)

      • Mes excuses Christophe… et par contre, pas de Frise néerlandaise par chez moi, j’ai viré côté Marseille 🙂

  4. À ce jour et à cette heure la cartographie de nos déplacements a été vue 564 fois. Elle comprend l’ensemble des textes du PDF de l’exercice dont les coordonnées et/ou le contenu permettent une géolocalisation. Seules deux auteures en sont absentes ( Christine Eschenbrenner et Carole Temstet) car leur texte ne livre aucune géolocalisation possible.
    L’actualisation de cette carte sera quotidiennement effectuée jusqu’au lundi 10 février.

    • Hello Ugo
      Si tu as envie et le temps de palier à mes erreurs géolocalisables sans me maudire 🤣 (ça y est je viens de la « lire » cette erreur)(j’y arrivais pas) (petit décalage Nord) (21 et non 12)(misère)( me souviens que je ne pouvais corriger les dictées, les lettres faisaient une soupe d’inversions à rendre aveugle) (je leur donnais le texte et les enfants corrigeaient eux-mêmes leur cahier)(le besoin créé la méthode pédagogique)(après j’ai filé en maternelle)

      44.216807,2.987060

      Sinon rien de grave !

  5. Je trouve très agréable la lecture des textes les uns à la suite des autres, dans ce format pdf. Par contre je me demandais comment commenter, vous m’éclairez avec vos adresses, par vos arobases.

    Dans vos bouts du monde, le monde souvent s’achève sur une ouverture, un infini, le ciel, l’eau (@Eve, ravie de te retrouver, mais quel terrible rêve !), la mer (@FrançoiseR, la présence de la mer, sa puissance!) et le temps s’y invite, j’aime les détails auxquels on reconnaît les bouts du monde (@Jean-Luc), et les lumières (@Clarence), et les brumes (@Catherine) et les bouts du monde qui me surprennent et m’émeuvent (@Laurent), et ceux qui portent des histoires (@Bernard), les épaves (@Ugo), l’insolite du quotidien, ouverture sur l’imaginaire (@Lisa), je ne vous cite pas tous, mais j’ai parcouru vos chemins.
    Il me reste à me pencher sur la carte.

    • Merci beaucoup Christophe pour ton commentaire et ta lecture ! Et moi je ne connais que Harlingen et l’île de Terschelling. Le sable y paraît sombre car il est humide. J’aime les plages de sable noir et j’ai pu en fouler en Islande ou à Lanzarote. J’ignorais qu’il y en avait en Allemagne…

  6. Helena Barroso… ton texte, c’est une carte postale pleine de vie… très beau. Couleurs, odeurs, paysage, gens… tout y est en quelques lignes. Concision. Justesse. Merci. Les baraques à beignets, ça me rappelle celles de la kermesse, on en mangeait – aux pommes – au moins une fois par an en famille. Ça réveille des souvenirs.

  7. Danièle Godart, j’aime l’idée des baies vitrées qui montrent la vie des gens la nuit. Et la petite vie de l’école primaire. Derrière un cimetière, ce que ça ouvre comme histoires. Et puis les bus, beaucoup de bus, ce n’est pas anodin. Et le paysage est bien planté, on le voit, on s’y promène. Merci.

  8. Helena Barroso, que j’ai aimé moi-aussi Cacilhas et longer les quais jusqu’au pont 25 de Abril. La rouille des mécanismes anciens. Le bourdement constant du pont. Frelons. Courant électrique. Et nuages en perpective qui semblent parfois s’y poser.

  9. Lisant présentement Noeuds de vie de Julien Gracq « ouvre entre fleuve et jardins une promenade couverte, un *bout du monde* (en italique!) à la fois scintillant et fleuri qui semble fait pour protéger et cacher dans chaque maison autant de bonheurs domestiques tapis entre rosiers et haricots. » 😉

  10. Me suis laissée déborder par le nombre de textes, pas simple de laisser un mot pour chacun ici, mais impression grisante de tour du monde à chaque texte une nouvelle découverte, merci à toutes et à tous

  11. Après le zoom de ce soir, j’ai eu envie de découvrir quelques autres de vos bouts du monde
    @Catherine K, une description précise et évocatrice à la fois
    @Laurent P, j’aime beaucoup la phrase « le bout du monde n’est pas une question de distance, tous les points sont mobiles.
    @Helena, merci de nous emmener si bien dans ce bout du monde, des images jusqu’au silence
    @Cécile B, le rythme du texte, la force de la mer et du vent
    @Fabienne, ce lieu dont tu décris les angles, les glissements et les incertitudes prend encore plus de relief avec ce que tu nous en as dit ce soir.

  12. @culturezen à Eve François « Une eau en robe blanche se
    déversant en chute libre dans un couloir long de plus de cent
    mètres avec deux paliers, et venant se répandre dans un
    bassin arborant les couleurs du soufre du volcan de la
    Soufrière. L’air était très humide, l’écume des eaux
    jaillissantes se confondait avec un léger brouillard, il ne
    faisait pas chaud, mais le désir de communier avec cette eau
    matricielle était trop fort. » …. Dix ans à vivre !!! Et le souvenir revenu par le « geyser à l’envers »… Reusement! Trente ans en arrière ! Et vous prîtes alors la plume…

  13. Difficile d’oublier chaque texte et déjà en entrée la longue et belle progression et l’émerveillement en lisant Eve (avec la constatation de mon incapacité à mettee en mot et sans fate de frapppe de surcroit un commentaire) et de se faire page blanche pour les suivants les sensations et le dépaysement avec Patrick, la lutte de l’enfant contre la frousse le froid en dépassant le familier chez Philippe et la précision du récit, l’apparition retardée du elle qui ressent les odeurs les disgraces la curiosité du chemin chez Lisa, les couleurs lesformes la mer la leçon de vie et les limites humaines avec Laure… alors me tait même pour ceux que je goûterai encore davantage mais croyez moi je poursuis la lecture jusqu’à Gracia après une dénommée Brigitte, ai prévu temps et j’ai curosité.

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